Ce n'est que le début...
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
hh,
hbi,
hsoumis,
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
lavement,
Je m’appelle Joseph, j’ai 34 ans, et en ce moment je suis un peu paumé. Je suis seul, plus une thune en poche, et pour couronner le tout, en conséquence directe, je viens de me faire jeter à la rue par mon proprio. Heureusement, j’ai un pote qui devrait pouvoir m’héberger quelque temps ; enfin, je crois. Je ne me souviens pas trop où il habite mais je devrais réussir à trouver. Vous vous demandez sans doute comment je peux avoir oublié où vivait mon seul pote ? Je rentre de quelques années passées à l’étranger et j’ai perdu le contact avec tout le monde, et le seul mec que je me dis qu’il pourrait m’aider, c’est lui, même si ça fait un bail qu’on ne s’est pas vu ! Je me balade donc dans son coin à la recherche d’un peu de mémoire, j’essaye de me rappeler ce café où l’on buvait des bières. Cette rue me dit quelque chose ; oui, c’est ça, je me rappelle enfin et me retrouve devant la porte de son immeuble. Évidemment, je ne connais pas son code ; je vais donc me poser sur un banc en attendant de le voir passer. J’attends donc Nicolas, mon pote de fac ; ça fait donc 6 ans que je ne l’ai pas croisé. J’ai appris qu’il s’était marié, il a peut-être même un enfant depuis. On était très proches à la fac, et la vie nous a éloignés depuis, mais je le sens bien ; enfin, j’espère ! Après une petite heure d’attente, je le vois arriver de loin. Il n’a pas changé, toujours aussi grand et beau. J’ai toujours été jaloux de sa beauté et de ses facilités avec les filles. Je me lève, il me voit ...
... et il sourit, c’est gagné. — Hé, Joseph ! Qu’est-ce tu fais là ? Ça fait un bail !— Grave trop longtemps ! Je suis là pour te demander un service.— Ce que tu veux. Qu’est-ce qui se passe ?— Je suis à la rue, j’ai perdu mon job. Bref…— Viens à la maison et fais comme chez toi :mi casa es su casa, ou un truc dans le genre.— Tu me sauves, je ne sais pas comment te remercier.— On trouvera… Nous montons donc chez lui. Son appart n’a pas beaucoup changé ; c’est juste plus bordélique que dans mon souvenir. Il y a un peu de relâchement, apparemment. Nous avons passé la soirée à nous raconter nos vies, et ce que nous en avons retenu est que nous sommes bien seuls tous les deux ! Sa femme l’a quitté du jour au lendemain il y a 6 mois environ. Depuis, ils ne se sont pas revus. Ses affaires sont même encore ici, elle n’a même pas pris la peine de venir les chercher. Seul contact : une lettre d’avocat demandant le divorce. Bref, nous voilà deux loosers, et pas très fiers de l’être… Le bon côté des choses, c’est que ça lui fait plaisir de m’héberger : son canapé est mon canapé autant que je le veux, et il va même me faire un peu de place dans l’armoire de sa femme. Après cette soirée bien arrosée, nous nous couchons tous les deux dans nos lits respectifs, assez heureux de s’être retrouvés. Je m’installe donc chez lui ; je cherche du boulot, donc je prends le temps pour le remercier de faire le ménage : je brique l’appartement, je m’occupe des lessives, du repassage, des courses, et bien sûr ...