Ce n'est que le début...
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
hh,
hbi,
hsoumis,
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
lavement,
... camoufler. Je décide d’aller plus loin et enfile une robe moulante et assez courte, provocante à souhait. À ce moment, je me rappelle que Nicolas avait mis une perruque lors de nos folles soirées étudiantes. Je la trouve cachée au fin fond d’un carton rempli d’objets d’un autre temps. C’est une perruque de cheveux longs et bruns, pas très réaliste, mais c’est mieux que rien. Je me regarde à nouveau, et je kiffe ce que je vois : je suis sexy, je me sens sexy, je me sens bien comme rarement ces dernières années ; c’est comme une révélation. Je décide alors de passer la matinée comme ça, et je m’imagine dans la situation de la femme qui attend son mari. Je me mets alors à fantasmer son corps, à m’imaginer être l’une de celles qu’il fait crier toute la nuit. À regret, je me change avant son arrivée car je ne pense pas qu’il apprécierait ce qu’il verrait. Des semaines se passent ainsi, où il me fait son petit numéro d’Apollon le matin, et où moi je me transforme en Joséphine en son absence. Un jour que j’avais enfilé un petit ensemble en dentelle noire composé d’un string, d’un soutien-gorge triangle et de bas autofixants, le tout assez peu dissimulé sous une robe très fine et transparente, je décide d’ajouter à ma panoplie le maquillage. Je m’assois alors devant le miroir et travaille mon visage pour le féminiser. Le résultat est incroyable : je me sens plus femme que jamais ! Je suis heureuse et danse dans le salon quand la porte s’ouvre, laissant apparaître Nicolas sur le ...
... pas de la porte ! Nous nous retrouvons donc face à face, espacés de 5 ou 6 mètres. Il me regarde longuement. Je n’ose ni bouger ni parler. Il me regarde ainsi pendant ce qui m’a paru comme 10 minutes même si cela a dû durer 30 secondes. Puis il s’avance vers moi lentement, son regard dans le mien, mais son regard est dur ! Il s’avance, je recule ; il s’avance, je me retrouve dos au mur. Il avance. Il est maintenant à moins d’un mètre. Il avance. Il est à 20 centimètres. Sa main droite monte lentement, m’attrape le visage, et me maintenant ainsi il m’embrasse à pleine bouche, forçant l’entrée de sa langue dans ma bouche qu’il fouille frénétiquement. Mes jambes flageolent. Son autre main m’attrape une fesse et me plaque entièrement contre son corps, puis il me repousse un peu. Sans son soutien, je m’affale un peu et glisse à genoux. Il retire alors sa ceinture, descend son pantalon puis son boxer, libérant son sexe épais qui a déjà pris une certaine taille. Ses mains saisissent ma tête et il approche son gland de ma bouche. Je suis pétrifié. J’avais au cours de ces derniers jours imaginé le sucer, mais pas comme ça ! J’entrouvre la bouche et il m’introduit son sexe directement. J’essaye de reprendre le contrôle de moi-même mais il commence à imprimer son rythme ; il va et il vient dans ma bouche sans que je ne puisse rien y faire. Son sexe grossit encore et encore, j’ai du mal à le contenir. Il entre plus profondément, me provoquant des haut-le-cœur. Il accélère le rythme et me ...