Pierre-Georges Mistouflet - Chapitres 4 à 7
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
hgode,
... fringues, tu ne pourras jamais entrer tes grands pieds dans mes escarpins. Ce soir, nous jouerons donc « La comtesse aux pieds nus ». P.G.M. comprend que ce jeu ne s’arrêtera pas à la fin de la soirée, mais que Perrine avait de beaux jours devant elle. Chapitre 6 – Orgasmes : P.G.M. : 4, Hélène : 3 — Je t’ai dit que tu n’allais pas t’en tirer comme ça, ma doulce Perrine ! Va quérir dans notre tiroir secret l’appareillage que tu étais forcé d’utiliser ces derniers mois pour tenter d’être un mâle. Le repas s’était passé de manière très agréable. Toute leur complicité retrouvée, Hélène et Perrine (redevenu intellectuellement P.G.M) avaient devisé fort agréablement. La conversation ne quittant pas le domaine de la sexualité. Après qu’ils eurent bien évidemment évoqué quelques-uns de leurs souvenirs, très vite, Hélène avait orienté la conversation sur ses ébats avec Julien. En bons pédagogues, ils essayèrent d’analyser, de comprendre le pourquoi du phénomène. Ensuite, ils parlèrent de ce qui venait de se passer entre eux. Comme P.G.M., ce matin devant la lingerie, la réaction d’Hélène devant son mari travesti et les agissements qui en découlèrent se firent en toute spontanéité. Elle lui jura qu’elle n’avait jamais eu ce type de fantasme, que l’excitation déclenchée par la situation l’avait prise au dépourvu (heureusement, l’hiver était loin). Le repas leur permit de réaffirmer leur amour, de concéder que leur sexualité avait besoin de stimuli pour s’exprimer à nouveau pleinement. ...
... Ils se trouvèrent d’accord pour reconnaître que le jeu qu’ils avaient entamé tantôt n’était qu’un jeu et que, aussi excitant soit-il, la partie ne s’engageait que lorsque P.G.M. devenait Perrine. Hélène convint que si cet artifice permettait à PG.M. de retrouver sa virilité. Après tout, ils étaient des gens libérés, que diantre ! Ils n’avaient pas jeté des pavés pour rien en mai 68. Aussi, c’est le cœur léger que Perrine s’en va « quérir » le gode-ceinture. Hélène regagne le salon où elle s’installe tranquillement dans un fauteuil. Pour le repas, elle avait passé un peignoir d’intérieur, faussement oriental. Quand Perrine la rejoint, elle a ouvert un pan du vêtement et promène lascivement ses doigts sur son minou entrebâillé. Interdite, Perrine s’arrête sur le pas de la porte et mate sa femme en train de se doigter. — Eh ben, entre, ma petite bonniche préférée ! Je ne vais pas te dévorer ! Quoi que… Tu es très bandante dans cette petite toilette ! Je te baiserais bien ! Approche ! Hélène se lève et, prestement, se débarrasse de sa robe qu’elle expédie sur le sofa. Il lui reste pour tout vêtement sa toison luxuriante. Cette Vénus sans sortie du bain à la solide poitrine dont les énormes tétons pointent vers lui déclenche une alerte rouge instantanée dans le string mauve. Le déclic a bien eu lieu, P.G.M., ou du moins Perrine, est redevenu opérationnel. Immobile, le gode-ceinture à la main,ille attend.ille sait que ce n’est pasille qui mène le jeu, qu’ille doit se soumettre au ...