Joëlle G. (1)
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
Transexuels
... ma jupe qui sur le devant me recouvrait les genoux cachant ainsi ma masculinité, et mon corsage de soie largement décolleté dévoilait mon soutien-gorge rouge et noir. Qui était l’homme, qui était la femme? ypnncr Elle me demandait de nous remettre en position de 69, afin de me remettre en condition d’une part, et ajoutait-elle malicieusement "de te familiariser avec ma queue". N’ayant jamais eu d’expérience homosexuelle, j’avais beaucoup de mal à transformer en fellation le cunnilingus un instant interrompu; Joëlle, elle, était de plus en plus excitée et réussissait parfaitement à me mettre dans le même état! Elle ne me parlait plus qu’au féminin et ses propos de plus en plus vulgaires l’emportaient sur mes préjugés, tant et si bien que je finissais par prendre ouvertement plaisir à "la sucer" tandis que son majeur était enfoncé dans mon fondement et qu’elle se caressait la pointe des seins de l’autre main. Estimant alors que j’étais "prête", elle me faisait mettre en position au bord du lit, et après avoir enduit l’extrémité du gode avec un peu de gel lubrifiant, elle baissait mon string sur mes genoux et amenait son gland à l’entrée de mon anus. Elle agissait effectivement avec beaucoup de douceur et au bout de quelques minutes, réussissait à me pénétrer complètement. Je réalisais les efforts qu’elle faisait pour ne pas céder à son excitation et se mettre à me besogner "à la hussarde". J’avais du mal à respirer calmement, je suffoquais presque, alors elle me parlait d’une ...
... voix douce bien qu’un peu tremblante, elle me caressait les cheveux et les épaules pour que je me détende pendant qu’elle allait et venait au creux de mes reins. Elle me faisait redresser le torse, puis caressait mon soutien-gorge de sa main gauche tout en saisissant mon sexe tendu de l’autre et me demandait "Que préfères-tu, maintenant? Je te fais jouir à la main ou tu jouis en moi en me faisant subir ce que je t’impose depuis 5 minutes?". Je lui répondais dans un souffle, car j’étais partagé entre douleur et plaisir : "La deuxième solution, mais continue encore un peu comme ça". Elle faisait lentement glisser sa main sur ma hampe tout en continuant ses mouvements de va et vient au creux de moi. Parfois, elle comprimait mon sexe quand elle sentait que j’avais trop de mal à me retenir. Elle réussissait ainsi à me sodomiser pendant quelques minutes, puis elle se retirait très délicatement : elle avait réussi à me faire frôler l’orgasme sans que j’éjacule! Elle prenait alors ma position en me disant "Je ne veux pas de gel, je veux que ta langue me lubrifie avant que tu ne me mettes ton gode à toi". Je m’exécutais en constatant qu’elle en avait à peine besoin, tellement était forte son excitation. A mon tour, je la sodomisais en essayant au maximum de me contrôler afin d’être aussi doux qu’elle l’avait été. Je cherchais à ce que toute la surface de mon corps soit en contact avec le sien, j’écartais ses cuisses avec les miennes, je caressais ses seins à travers le blouson. Peu de ...