1. Joëlle G. (1)


    Datte: 09/12/2017, Catégories: Transexuels

    ... capable pour enfiler le petit bout de tissu rouge en remontant sa jupe. Ne trouvant pas de haut assez sexy à mon goût, j’enlevais le blouson et l’aidais à le passer. Mes mains malaxaient alors ses seins nus qui pointaient à travers le cuir du blouson pendant que je frottais mon corps contre son dos, ses fesses et ses cuisses. Mon sexe qui avait un petit peu ramolli retrouvait toute sa vigueur, d’autant plus qu’elle tendait ses bras vers l’arrière pour caresser ma jupe. Elle me disait "Oui, c’est bon, fais le coulisser sur la raie de mes fesses", se tortillait pour accentuer les sensations. Je lui faisais remarquer "Tu vois, si tu n’avais mis les bottes, tu te retrouverais trop petite!". Elle se retournait, j’embrassais ses lèvres. Elle constatait alors, souriante, "Tu as raison, je n’ai plus à me mettre sur la pointe des pieds". Puis à son tour, elle allait fouiller dans sa penderie pour en revenir avec un chemisier en soie blanc. "Tiens" disait-elle. A peine avais-je attaché les 3 boutons du bas qu’elle me poussait en arrière sur le lit et remontait ma jupe en la faisant glisser petit à petit, très lentement sur mes cuisses. "Je vais te faire ta fête!". Elle souriait de toutes ses dents; elle s’agenouillait au-dessus de moi en retroussant à son tour sa jupe en daim, puis écartait la ficelle de son string et s’empalait sur ma virilité à présent totalement retrouvée. Ses mains s’activaient sur la soie, elle caressait autant ma peau que mon soutien-gorge. Elle pinçait parfois ...
    ... le bout de mes seins comme elle l’aurait fait pour durcir les tétons d’une "vraie" femme. Je l’implorais "Oh oui!, je veux que tu me gouines, prends-moi!". Littéralement, je mouillais par l’anus et le slip brésilien noir et rouge me collait à la peau! Je voyais mon sexe raidi, sortant par l’entrejambe du slip, qui plongeait au plus profond du ventre de cette jeune femme dont j’avais rêvé tant de fois. Elle-même avait du écarter son string pour que je la pénètre et elle tenait à présent sa jupe levée pour que je puisse jouir parfaitement du spectacle! Son bassin ondulait doucement, mais je la sentais parfois se contracter. Elle poussait des soupirs et des gémissements qui faisaient écho aux miens. Elle s’allongeait complètement sur moi et je profitais de ce moment pour inverser la position de nos jambes, c’est à dire que c’est moi qui avais à présent les cuisses grandes écartées pour la ceinturer. L’étreinte de son vagin s’en retrouvait encore plus serrée. Joëlle semblait apprécier autant que moi cette nouvelle sensation. Et moi, là, j’arrivais au bout de mon fantasme : je faisais l’amour avec une femme, mais je ne savais plus si j’étais homme ou femme! Joëlle se remettait à bouger lascivement; j’achevais de retrousser sa jupe de peau en lui imprimant à mon tour un mouvement de va et vient sur ses cuisses, puis j’amenais mon majeur au bord de son anus en écartant la ficelle du string. Je faisais tourner mon doigt autour, je glissais le long de sa raie. Je repositionnais ensuite ...
«12...789...12»