1. Valérie : l'insoupçonnée (10)


    Datte: 09/12/2017, Catégories: Hétéro

    Je dors paisiblement lorsque je suis réveillé par une lueur et un bruit d’eau. A peine ai-je ouvert les yeux que la lumière s’éteint. Valérie revient au lit. Elle m’embrasse et se tourne pour se rendormir. Poussant ses fesses en arrière, elle heurte mon sexe, durcit de cette formidable érection que les rêves érotiques nocturnes provoquent. Sa main passe entre nous et elle s’empare de ma bite… qu’elle glisse dans son vagin. — Baise-moi… Vite ! Ni une ni deux, je me mets en action et astique la dormeuse. Elle lève la jambe et il me faut moins de deux minutes pour décharger en elle. Elle repose sa jambe, se couvre et se rendort. Je l’accompagne quelques secondes plus tard. Il est quatre heures du matin. Le portable de Valérie sonne à sept heures. Une minute plus tard, elle est à califourchon sur mon sexe et me comble de toute la palette des variations possibles dans cette position. Elle a plusieurs orgasmes avant de me faire intensément jouir. Elle file à la douche tandis que je réceptionne le petit-déjeuner commandé la veille. Valérie sort de la salle de bains vêtue d’une unique serviette autour de la poitrine. Elle avale rapidement un croissant et un jus d’orange, puis un café. Elle sort ses vêtements qu’elle dépose sur le lit et commence à se vêtir. Je me délecte du spectacle : soutien-gorge balconnet et string roses pâle puis une élégante robe portefeuille beige. — Une robe idéale pour porter la guêpière dessous. Valérie sourit. — Si je n’allais pas au boulot et qu’on ...
    ... sortait ensemble, j’aurais pu envisager la chose. J’ai envie de quelques câlins avant son départ, mais elle n’est pas du tout en avance. — Je reviens à midi et j’aurais certainement envie de toi. Un dernier baiser et elle s’en va. J’allume la télé, informe la réception de notre check-out pour 14h et je commande déjà des salades pour midi. Je range mes affaires. Les siennes sont éparpillées dans la chambre et je les réunis sur le lit. Sa tenue de travail de la veille (pantalon, chemisier, soutien-gorge, string et mi-bas), le peignoir, la robe et les dessous noirs, la parure de lingerie blanche et les accessoires. Et deux paires de talons. Il me semble n’avoir rien oublié. En regardant les vêtements, je suis attiré par les trois strings, particulièrement par le noir de la soirée et le rouge, que je découvre, qu’elle portait au travail la veille. Le noir capte mon attention à cause de sa couleur, car l’intérieur du string est maculé d’une tache blanche couvrant tant la quasi intégralité de la zone où repose son sexe que les coutures bordant l’étoffe. Une impressionnante étendue de mouille qui confirme l’excitation de Valérie durant la soirée. Le string rouge comporte aussi un sillon blanchâtre, mais surtout, il dégage une entêtante odeur de sexe et de sueur qui me fait immédiatement bander. Je me caresse en portant la culotte à mon visage et inspire profondément les effluves intimes de Valérie. Je ferme les yeux et la revoie en lingerie, nue, ses seins, ses fesses, les positions ...
«123»