Valérie : l'insoupçonnée (10)
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
Hétéro
... obscènes, sa rondelle ouverte… J’explose, je gicle je ne sais où, perdu dans mes rêveries. Je pose le string sur le lit et vais prendre une douche. De retour dans la chambre, je plie et dépose les vêtements de Valérie sur la table. Je m’allonge sur le lit et me rendors quelques minutes. A 11h30, je refais le lit et prépare la chambre pour son arrivée. Je porte un simple boxer. Il me tarde qu’elle arrive et je suis soudain tout à fait désœuvré. Peu après midi, on toque à la porte et, certain qu’il s’agit de Valérie, j’entrouvre la porte et me poste en face. Je m’attends à ce qu’elle l’ouvre, mais j’entends "Room service, bonjour". Complètement oublié les salades ! Une serveuse latine aux longs cheveux noirs et bouclés lève sur moi des yeux incroyablement beaux. Plutôt petite, elle dégage un charme et un érotisme fou. J’en suis pétrifié. Elle passe devant moi et je bloque ensuite sur ses fesses étroites et formidablement bombées dans une jupe de tailleur noire parfaitement ajustée. Elle aimerait déposer les assiettes sur la table mais les vêtements de Valérie s’y trouvent. Je me précipite pour les poser sur le fauteuil mais je fais tomber le porte-jarretelles et le string noirs à ses pieds. Elle les ramasse entre le pouce et l’index et hoche la tête en souriant. C’est à ce moment-là, quand elle se tourne vers moi, quand je la vois de face pour la première fois, que je remarque réellement sa monumentale poitrine. Deux grosses bulles bien hautes, de la taille de ballons de ...
... handball, se dressent dans ma direction menaçant à tout instant de faire exploser un chemisier qui semble trop petit de trois tailles au mois. Elle sourit et dit : — Vous avez dû passer une bonne soirée. — Oh oui, et vous ? J’ai répondu du tac au tac. Je m’assieds sur le lit, face à elle. Elle lève la lingerie qu’elle tient toujours entre ses doigts : — Certainement moins agréable que la votre. Je prends les deux pièces, pose le string sur le fauteuil et garde le porte-jarretelles que j’agrafe prestement. — Approchez-vous. rwmrlli Elle fait un pas en avant. Je tiens le porte-jarretelles tendu au niveau de ses hanches. — Pile votre taille. Elle rit. — Je ne porte pas ce genre de choses. — Vraiment ? Jamais ? — Non, d’ailleurs, je n’en ai pas. Je la provoque : — Je vous offre l’ensemble de lingerie de votre choix si vous acceptez de manger avec moi. — Oh ! Son sourire et sa gêne touchante valident ma proposition. Elle entre dans mon jeu. — Je pourrais avoir un copain. — Vous pourriez, oui. Vous pourriez être homosexuelle aussi. Mais cela ne changerait rien à ma proposition. — Je ne suis pas homosexuelle. — Et vous n’avez pas de petit copain. Elle rougit, toujours avec le sourire. — Je pourrais refuser votre proposition. — Vous êtes libre comme l’air, ma chère. Elle fait mine de réfléchir, mais sa réponse ne fait aucun doute. — Donc, vous m’offrez de la lingerie et vous m’invitez au restaurant, sans contrepartie, de manière tout à fait désintéressée. Je souris en retour. — Si mon ...