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Une semaine aux Baléares
Datte: 10/12/2017, Catégories: f, fh, inconnu, bain, hotel, pénétratio, uro, ecriv_f,
... Qu’il est bon cet émoi que je ressens dans ma chair et que je n’ai jamais connu avant. Je voudrais maintenant ce sexe entre mes cuisses, le sentir me pénétrer comme me pénètre mon majeur, le sentir jaillir en moi comme le sexe que j’ai senti jaillir dans ma bouche. Mes reins s’arquent de plus en plus haut, mon sexe toujours plus avide de caresses, je sens une vague de bonheur enfler en moi, plus grosse, toujours plus grosses, je m’offre sans pudeur aux caresses de mes doigts, m’offre encore sans plus aucun contrôle sur ma chair m’abandonnant à la luxure, soudain l’arc de mes reins s’effondre, ma bouche laisse échapper des râles avec le plaisir si intense qui m’envahit, mes reins vont et viennent offrant toute l’intimité de mon sexe à ces caresses. Je jouis, jouis toujours plus sans pouvoir arrêter le manège infernal de mes doigts. Mon sexe ruisselle, mes doigts suivent le flot de la lave qui se déverse de mon cratère jusqu’entre mes fesses pour atteindre mon œillet sur lesquels ils s’attardent un instant. Epuisée par tant de fougue mon ardeur se calme et je reste alanguie dans mon lit ; Reprenant progressivement mes esprits je ne peux résister à l’envie de goûter cette lave qui m’inonde. Je porte mes doigts à ma bouche pour découvrir sa saveur surprenante d’abord avec son odeur de marée mais bien vite si grisante que j’enfonce mes doigts dans ma bouche pour les sucer goulûment. Sautant dans ma douche pour effacer toute trace de ce plaisir solitaire mes doigts ne peuvent ...
... résister à s’attarder encore dans ma fente qui veut encore les mouiller. Je m’abandonne et laisse jaillir mes flots dorés entre mes doigts. Quelle libération j’éprouve, c’est comme si tous les interdits de ma jeunesse disparaissaient. Jusqu’à ce jour ce ne fut que ces plaisirs solitaires que j’imaginais être ce qu’on appelle le 7ème ciel. Aujourd’hui seulement je découvre que c’en était encore bien loin. A 25 ans je me suis offerte une semaine aux Baléares avec mon amie Martine, mon aînée, divorcée, n’ayant peur de rien, boute en train, et bien décidée à me dévergondée. Dans l’avion j’étais assise à côté d’un homme que n’avais pas cherché à détailler. J’ai su plus tard, bien plus tard, qu’il avait une quarantaine d’années mais en paraissait 30. Au cours du vol il a entamé une conversation anodine au cours de laquelle j’ai imprudemment lâché le nom de notre hôtel. Dans l’après midi Martine et moi nous avons apprécié la plage et après dîner, nous nous sommes installées à la terrasse de l’hôtel pour apprécier la fraîcheur du soir. Martine m’avait proposé d’aller en boite, mais je n’étais pas très enthousiaste. Tout en sirotant un gin fizz, je vis soudain apparaître mon compagnon de voyage, accompagné par un autre homme d’âge similaire. De toute évidence à ma recherche, il m’aperçoit, s’approche et nous demande l’autorisation de prendre un verre. Martine sans attendre ma réponse dit " oui, bien sûr " avec empressement ravie d’avoir trouver un compagnon pour aller en boite. Nous ...