1. Sourire


    Datte: 10/12/2017, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... rôle d'un homme et de nos traditions. Pour un vieuxgarçon comme moi ce serait l’idéal. Tout au plus devrais-je lui concéderau début l'érection d'un ou deux marmots. Je vis bien qu'elle n'enpensait point une goutte. Plus qu'un autre elle détestait les femmes.Toutes lui étaient rivales et susceptible de lui voler un homme.Il ne pouvait y avoir d'autre explication. Elle me voyait déjà convoleren juste noce avec cette autre, une oie blanche. Elle voulait pouvoirdire sur les marches de la mairie : cette conne ne sait pas que j'aidébauché il y a peu son mari. Elle voulait à la source souillé monmariage. Je n'ai jamais rencontré comparable sorcière. Plus tard etaprès ce présent épisode, son mari, mon ami s'ouvrit davantage sur lapersonne de sa femme. Tout était vrai. Elle couchait avec tous. Depuislongtemps il lui avait donné son assentiment. J'en voulus savoir plus etla cause.Peu après le mariage il apparut à cet homme qu'il ne pourrait satisfaireautant qu'elle le voudrait une femme qu'il avait autant convoité. Ellel'avait choisi pour son argent et son statut ce dont il se doutait. Ileût voulu ajouter à cela les titres du mâle et seigneur au lit mais quenenni il ne faisait pas le poids. Il alla vite de déroute en déroute. Ilsut ses premières infidélités. Il y eût une explication orageuse. Il neconsentit point au divorce et d'être séparé des enfants. Elle obtintalors qu'il ferma les yeux sur ses aventures. Pire il se découvrit jouirde cela.En effet n'était-il pas rare qu'elle fit ...
    ... venir des fois un amant dans lachambre d'amis. Il avait ménagé une ouverture suffisante dans le mur oùil pouvait tout voir. Il ne sut comment la coquine le sut. En tout casun jour elle lui jeta à la figure qu'elle ne refusait pas qu'il serinçât l’œil de ses ébats. Outre que cela confirmait son néant, elle ytrouvait une sorte d’hommage flatteur à sa lubricité. Bientôt comme parjeu elle lui dit de lui choisir au hasard un amant et qu'il pourraitalors se repaître du spectacle. Croyant l'humilier il lui choisit ainsin'importe qui.Ainsi un jour ce fut un petit vieux croisé aux ASSEDIC qu'il fit boireet emmena à la maison. Il présenta sa femme comme sa belle sœur. Il fitcroire au vieux qu'elle était trop en manque et qu'il pouvait lui rendreun service. Madame ne fut point choquée de ce conte et même le trouvabon. Elle vida pour le coup les couilles de ce vieux. Il lui parut cejour-là que sa femme était pire qu'une putain. S'ensuivirent unplombier, un nègre, un arabe et même un huissier. Il importait peu àcette garce de savoir qui était au bout de la bite. Elle entrait commeen transe célébrant tout le rite.Cela dura vingt ans. Depuis elle s'était avachie. Chairs affaissées etmaquillage outré elle faisait maintenant pute. A cet égard il l'avait unsoir emmené dans le bois de Vincennes où au vrai elle se prostituadurant deux heures. Il en conçut une parfaite émotion. De voir sa femmejambes en l'air au fond d'une voiture lui fit venir des larmes aux yeux.Il découvrit avec rage et honte ...