1. Sourire


    Datte: 10/12/2017, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... qu'il l'aimait. Qu’elle le fit souffrirde la sorte les rapprochait. Il était sûre qu'il en mourait. Il avaitfait entrer un bourreau dans sa vie. Il lui importait surtout que lesenfants ignorassent tout de cette vérité.Ce soir-là c'est lui qui incidemment me souffla que sa femme était demauvaise humeur et que je pourrais peut-être le sauver de sa colère etde sa cruauté. Au début je ne compris rien à son galimatias mais je visle copain terrorisé par cette femme. Je crus qu'il voulait que je luiparle et la raisonne. Fort de mes principes et de ma rhétorique je fussûre de convaincre la pécore. Outre ma naïveté, l'alcool avait éteintles dernières lueurs de mon esprit. Je n'en acceptais pas moins que lecopain s'éloigna et nous laissa tous deux dans le salon. Elle avait unsourire de tigre.Elle me laissa m'enferrer dans mes premières phrases. Je mis du temps àpercevoir mon enlisement. Son visage était barré du même sourireimpassible. Ses yeux néanmoins montraient la cruauté du fauve qui se vajeter sur sa proie et la déchiqueter. Elle dit soudain : "Sais-tu quel'autre con ne va pas revenir. Ils nous a laissé tous deux à dessein.J'ai envie d'une queue ce soir. Mon amant m'a fait faux bond. Je veuxêtre satisfaite." Un tonnerre éclatant sur nos têtes n'eut pas fait plusde bruit. Je réalisais trop tard le rôle qu'on m'avait destiné. J'eus leridicule de regarder vers la porte.Elle se leva et en un instant fit glisser sa robe. Elle enjamba celle-cijonchant le sol. Elle était en bas porte ...
    ... jarretelle et soutien gorge.Elle se tourna plusieurs fois mimant un défilé de mode. Elle avait ungros cul. Elle était plantureuse. Ses formes débordant de toutes parts.Rubens l'eût aimé en modèle à part qu'elle fut brune plutôt que blondeou rousse. Des collègues m'avaient dit adoré ce genre de viande lubriqueprometteuse de tant de voluptés. J'étais ébahi. Tel un serpent elle secontorsionna un instant. Ses yeux déjà et peu à peu m’hypnotisèrent.Elle était à mes pieds et ouvrit ma braguette.Je dus rendre les armes. Sa bouche suave suçait divinement me versantune paix indicible et que je n'aurais jamais cru possible. Il nem'effleura pas que son mari caché dans un recoin nous observait. Centfois ils avaient répété cette pièce. J'en devenais acteur pour une fois.Métamorphosé, je crus devoir m'élever au sublime de la situation. Moisouvent emprunté, je lui rendis ses baisers et bientôt la renversait surle canapé. Ce fut une orgie. Je n'ai jamais foutu de la sorte une femme.Cette garce m'inspirait. Elle riait. Avec haine à la fin j'enculais. Sesfesses engloutirent mon sexe.Je perdis connaissance tandis que sa bouche à nouveau tentait à ranimerle membre las. Cette garce en voulait encore. Ce fut l'ami qui m'arrachadu sommeil, me disant que je pourrais dormir sur le canapé. Nous irionsdemain ensemble au bureau. Toute honte bue je ne voulus aborder le sujetde sa femme. Je m'accrochais au puéril conte qu'il n'avait rien vu. Cen'est qu'un an après que nous évoquâmes ce soir-là. Entre temps ...