1. À pas de loup...


    Datte: 03/07/2017, Catégories: fh, cocus, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fgode,

    ... toutes plus transparentes et courtes les unes que les autres. Il s’agissait de petits déshabillés légers, de combinaisons ou de nuisettes, en tulle ou en mousseline de soie, courts, parfois accompagnés d’un string en dentelle assorti qui disparaissait dès qu’elle utilisait ses jouets. Par un bel après-midi de printemps, Lucile, après s’être changée, décida de laver les rideaux et les vitres de l’appartement. Elle avait une simple nuisette et ne portait pas de culotte. Perchée sur un petit marchepied, elle passait d’une fenêtre à l’autre et offrait, sans y prêter attention, la vue de son corps à l’appartement d’en face, de l’autre côté de la rue. Chaque fois qu’elle levait les bras, sa nuisette se relevait pour découvrir sa toison soigneusement entretenue et limitée au pubis, ou la base de ses fesses rebondies. Régulièrement, elle marquait une pose, écartait légèrement une jambe pour profiter de la brise légère ; elle aimait sentir la caresse du vent sur son sexe. Elle en appréciait la douceur et la fraîcheur. Elle passait alors un doigt dans sa fente, laissait partir son imagination et subitement s’arrêtait pour reprendre son activité. Elle était en train de finir les portes-fenêtres du salon, donnant sur leur balcon, quand elle réalisa qu’un appartement en face de chez eux avait une vue imprenable sur l’ensemble de leur intérieur, depuis la salle d’eau jusqu’au salon, en passant par leur chambre. Jetant un coup d’œil furtif, elle distingua parfaitement une silhouette mal ...
    ... dissimulée derrière des rideaux ternes. Quelqu’un l’observait ! Lucile rougit, réalisant qu’elle s’exhibait depuis bientôt une demi-heure et s’était même caressée ! Cette prise de conscience la rendait honteuse, mais en même temps elle se sentit fondre littéralement. Être ainsi épiée l’excitait et, succombant à une pulsion irrésistible, elle glissa une main entre ses cuisses. Elle était trempée. Ses caresses l’électrisaient ; elle en voulait davantage. Elle voulait en donner davantage également. Elle avait subitement envie de s’exhiber devant cet inconnu, de se masturber devant lui, pour lui. C’était une de ces envies brutales, un de ces besoins pulsionnels que l’on exécute au bord du tremblement dans un état de semi-conscience. Descendant de son marchepied, elle tourna un fauteuil vers la fenêtre encore grande ouverte et, s’asseyant dedans, les cuisses largement écartées, elle entreprit une lente masturbation. Elle voulait prendre son temps, en profiter au maximum. Elle s’occupait tour à tour de son petit bouton et de « sa grotte ». Pendant que deux doigts de sa main droite fouillaient son intimité, elle se caressait les seins de la main gauche, en faisait durcir les tétons. Elle en tirait les bouts, les pinçait, les étirait. Elle avait d’abord gardé les yeux clos puis les avaient subitement rouverts pour essayer de voir ce que faisait son voyeur. Celui-ci ne se cachait plus ; avait-il compris qu’elle s’exhibait consciemment ? Il avait tiré son rideau et alternait prises de ...
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