À pas de loup...
Datte: 03/07/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
fgode,
... photos et masturbation. Le salaud semblait bien équipé et n’en perdait pas une miette. Puis, sans doute vaincu par l’excitation, il abandonna l’appareil et se branla avec frénésie. Ils se masturbaient l’un en face de l’autre. Quand elle vit la silhouette de son voyeur se tendre, elle fut éblouie et secouée par un orgasme hors du commun. Venaient-ils de jouir en même temps ? Elle le crut et s’en sentit heureuse. Mais un sentiment de honte reprit le dessus. Elle referma les fenêtres et remit de l’ordre dans le salon avant d’aller se doucher. Elle avait l’impression d’avoir fait l’amour avec cet homme. Elle qui avait toujours dit à Marc qu’elle ne coucherait pas avec un autre, elle s’était – d’une certaine manière – donnée sans retenue… Elle choisit d’en le garder secret. Pour l’instant, Marc n’en saurait rien ! Et d’ailleurs, elle ne recommencerait pas ; du moins le croyait-elle. Les jours passaient et Lucile se demandait si son voyeur l’épiait toujours. Cette idée la travaillait. Elle y pensait sans cesse, de jour comme de nuit, et même en faisant l’amour avec Marc. Elle avait envie qu’il la regarde encore, qu’il se branle en l’observant, faussement caché derrière son rideau. Elle l’imaginait éjaculant sans retenue par terre, sur ses rideaux ou sur ses murs. Son esprit gambadait… Elle mouillait comme une dingue. En rentrant chez elle une semaine plus tard, elle écarta les rideaux de la chambre et fixa la fenêtre du voyeur. Son cœur s’emballait, elle espérait l’apercevoir. ...
... Elle attendit quelques minutes puis, alors qu’elle s’apprêtait à occulter sa fenêtre, un pan de rideau gris s’ouvrit à la fenêtre d’en face. L’homme était là ; il la regardait ! Elle le distinguait mal et imaginait qu’il en était de même pour lui. Alors elle ouvrit la fenêtre en grand, et après avoir fait un sourire en direction de ce mystérieux personnage, elle se déshabilla lentement dans une sorte de strip-tease. Elle s’effeuillait langoureusement puis, une fois nue, elle se mit sur son lit et se saisit de « Joe » qui était posé sur sa table de nuit. Elle en caressa la forme comme elle l’aurait fait avec un véritable pénis puis introduisit le sexe d’ébène dans sa bouche pour l’humecter par une savante fellation. Elle se caressait d’une main, écartant ses lèvres chaudes, tout en avalant la colonne de latex. Enfin, tout en regardant fixement la fenêtre d’en face, elle introduisit le gode dans son sexe avide. Ils se masturbèrent l’un en face de l’autre pour la deuxième fois. Lucile était dans un état second. Elle jouit intensément à plusieurs reprises avant de se laisser glisser dans une douce torpeur. Elle prenait tellement de plaisir à ces exhibitions qu’elle savait maintenant qu’elle recommencerait.« Il faudra que j’en parle à Marc », pensa-t-elle. Ce petit jeu continua pendant une ou deux semaines avant qu’elle décide d’en aborder le sujet avec son mari. L’été s’approchait et elle se sentait de plus en plus excitée. Piquée par un démon, elle en voulait plus. Elle devait ...