1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°846)


    Datte: 10/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode N°842) – Walter, au moment où je le saluais respectueusement en lui souhaitant une bonne route, s’approcha de moi et me tendit discrètement, sans que le Maître le voie, un papier, et avec un sourire accompagné d’un clin d’œil devant mon regard incrédule, puis il remonta lui aussi dans son véhicule. Et je les regardais tous les deux quitter l’allée de mon terrain, le cœur gros de voir partir le Maître. Une fois les deux autos hors de vue, je regardais et lisais avec attention la feuille que m’avait donné Walter le Majordome. « Chienne soumise Marion MDE, Vendredi, comme tu dois le savoir, ce sera l’anniversaire de Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître. Chaque année, si tant est qu’elle soit disponible, si elle possède une vie vanille, la dernière acquisition du Maître est « offerte » en ce jour si spécial. Tu es la dernière arrivée, souhaites-tu et peux-tu te joindre à nous ? , je dis ‘’souhaites-tu’’ car je ne peux pas exiger en prenant du temps que tu as prévu sur ta vie vanille. Si tu viens, il sera nécessaire d’arriver au plus tard le jeudi soir, afin que tu sois préparée et que l’on t’enseigne ce que tu devras faire. Et tu devras prévoir de rester au minimum jusqu’au samedi matin, ou plus suivant tes disponibilités ! Je t’envoie prochainement un texto pour te donner l’adresse mail à laquelle tu devras m’adresser ta réponse, le plus rapidement possible, afin que je puisse contacter un ou une autre chienne pour te remplacer dans ...
    ... le cas où tu ne peux venir. N’aie aucune crainte, personne ne te tiendra rigueur si tu ne pouvais pas te libérer de tes obligations vanille. Le Maître s’attend à ce que tu ne puisses pas venir. Cependant, il ne saura pas jusqu’à vendredi soir qui sera Son présent. J’attends donc ta réponse. » Bien sûr que je savais que l’anniversaire du Maître était Vendredi ! Comment l’oublier ? Je sautillais comme une gamine, ou plutôt comme une chienne, à l’idée de revoir le Maître si vite ! Et d’un coup toute ma joie retomba. Que faire de mes filles ? Je ne pouvais redemander à ma sœur de les garder, elle n’était pas disponible ce week-end, c’est pour cela que le Maître m’avait fait venir le week-end précédent au Château. Et évidemment, je ne pouvais pas les emmener au Château ! Il me fallait trouver une solution rapidement pour pouvoir répondre (pour moi, c’était évident que ce serait positivement !) à Walter. Je pris donc mon téléphone et appelai Lucie, une amie, la seule personne du monde vanille à qui j’avais assez confiance pour lui parler de ma vie privée de soumise. Elle seule pouvait me dépanner, si tant est qu’elle ne travaille pas ces jours-là ! Je fus rassurée très vite. Elle ne travaillait pas et acceptait avec plaisir de garder mes filles. C’est dans des moments comme ça que l’on s’aperçoit des vrais amis… Regardant l’heure, je m’aperçus que j’avais tout juste le temps d’aller chercher les filles à l’école ! Je filais donc, j’essayais de me concentrer sur la route, mais en ...
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