La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°846)
Datte: 10/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... que j’étais une surprise… J’arrivais à 17h45. Walter me fit rentrer rapidement, pour une fois sur mes deux pieds, et tendit les clés de la voiture à un esclave, pour qu’il aille la garer et donc la cacher dans un des garages réservés aux Invités, le plus loin possible, là où Monsieur le Marquis d’Evans ne mettait jamais les pieds. Je fus conduite par des couloirs secrets et des tunnels que je ne connaissais pas jusqu’à la maison des gardes forestiers. - Ici, il n’y a aucune caméra, contrairement à l’ensemble du Château, où le Maître aurait pu te voir, s’Il avait voulu surveiller le Grand Chenil, où est normalement ta place de nouvelle chienne MDE ! Mais ne t’inquiète pas les gardes ont aussi un semblant de Chenil où tu seras très bien pour cette nuit ! Bien sûr, les gardes ont des consignes précises, te concernant et tu es à leur entière disposition jusqu’à demain ! dit le majordome avec un petit sourire pervers, juste au moment où un de gardes ouvrait la porte de la maison. - Ah Monsieur, vous êtes arrivés ! Humm, bien appétissante cette petite chienne ! - Oui effectivement ! Mais tu connais les consignes à son sujet, j’en ai besoin en forme et en bon état de fonctionnement demain, alors allez y quand même doucement ! Ne me la fatiguez pas … - Bien sûr Monsieur ! N’ayez crainte ! Nous ne l’épuiserons pas trop ! - Bien, alors à demain ! Chienne, soit sage et obéissante surtout ! L’anniversaire du Maître ne sera pas une raison suffisante pour t’empêcher de recevoir une ...
... correction si tu la méritais ! Et je baissais la tête, plus encore que je ne l’avais fait jusqu’alors pour bien montrer mon acceptation à ce qui devait m’arriver. Walter partit sur un « Amusez-vous bien ! » accompagné d’un sourire carnassier et pervers. Le garde me regardait et semblait attendre quelque chose, lorsqu’une gifle tomba me faisant sursauter. - Et bien la chienne ! Crois-tu que les clébardes de ton espèce se tiennent sur deux pattes ? Qu’attends-tu pour te mettre en position d’attente ? Je me mis donc en levrette, les bras bien tendus en avant, le cul bien relevé, quand une pluie de claques sur le cul me surprit. - Ai-je parlé de position standard ? Ne connais-tu pas les positions et la hiérarchie de tes supérieurs, sale chienne ? J’ai dit « position d’attente » ! Sans perdre une minute, je me mis donc rapidement à genoux, mains derrière le dos, les fesses ne reposant pas sur les talons, buste droit, tête et regard baissés, cuisses écartées au maximum que me permettait la position agenouillée. Le garde me laissa ainsi quelques minutes… Avant de descendre de ma voiture, à mon arrivée, j’avais pris soin de me mettre nue, de mettre mon collier et d’y attacher ma laisse. Le garde s’en saisit et me traîna à l’intérieur. Trois autres gardes étaient là, une bosse déformant déjà le pantalon kaki dont ils étaient tous vêtus. À tour de rôle, je dus sucer les quatre queues qui se présentèrent à moi, jusqu’à éjaculation de chacune, l’une sur mon visage, une sur mes seins, une dans ...