1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (29) : Rachid reprend « ses droits ».


    Datte: 11/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... spectateur. Il me couvrait de baisers, je lui offrais mes lèvres, pendant que l’étalon me forniquait sans ménagement. Je branlais Philippe. C’est lui que je regardais, nos yeux mi-clos par le plaisir. Philippe me baisait par procuration. Rachid continuait à me posséder, et montrait une endurance hors du commun, alors que j’enchaînais les orgasmes. Mon cœur battait si fort dans ma poitrine. J’étais au bord de l’évanouissement. Je me disais que Rachid allait me tuer. La sueur coulait de mes tempes et faisait coller mes cheveux. Mon visage était déformé par un plaisir inouï. Il me couvrait d’injures : • Sale chienne, tu aimes-ça, cochonne ! • Oh oui, n’arrêtes-pas, s’il te plait ! Encoreeeeee ! • Je vais te livrer à d’autres mecs. Je ferai de toi une grande putain. Tu veux des queues ? Je t’en trouverai beaucoup ! • Oui, offre-moi à tous ceux que tu veux. Je veux être baisée, enculée, je suis une salope, une catin. Ouiiiiiiiiii • Tu es à moi ? • Oui, je suis à toi. Tu es mon homme, mon mâle. • Je vais te remplir, te noyer la chatte sous des flots de sperme. Je te ferai d’autres bâtards ! • Oh oui, viens ! Et toi Philippe, approche, tu vas gicler sur moi comme on gicle sur une pute, tu vas m’en mettre partout, mon chéri. Rachid s’abattit sur moi et, dans un dernier effort, il m’envoya au fond de mon vagin de puissantes giclées. • Prends-ça ! Salope !!!!! Ohhhhhhhhh • Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Tu me tues ! De son côté, et au ...
    ... moment même où Rachid s’anéantissait en moi, Philippe se masturbait devant un spectacle terriblement érotique, le plaisir incroyable de la femme qu’il aimait tant. Brisée par le plaisir, ma chatte débordant des flots de sperme du mâle, je m’affale sur le dos, attendant que Philippe m’honore à son tour de son plaisir. Il dirigea sa verge sur moi. La première giclée m’atteignit aux cheveux et au visage. J’ouvrai la bouche pour essayer d’en recueillir. La seconde fut dirigée vers mes seins. J’étalais soigneusement la crème dont venait de me gratifier mon mari candauliste. Ayant fini son «devoir conjugal», Rachid s’était immédiatement retirer, fier de sa prestation et certain de sa totale emprise sur moi. Il n’avait pas perdu son temps en préliminaires, il n’avait pas l’intention de marquer le moindre signe de tendresse. Il me présenta sa queue devant la bouche pour que je la nettoie. J’avais envie de tendresse et sans aucun doute de remettre ça dès que le mâle aurait récupéré ses forces. Lui, il ne l’entendait pas ainsi. Il avait assuré, ça suffisait. Il se retira après m’avoir annoncé que nous allions reprendre le rythme normal et que, dès le mardi suivant, il m’amènerait dans la cité, dans l’appartement de son ami Kamel (voir récit n°20). Cela faisait des mois que je n’y étais plus allée et j’étais attendue avec impatience. Il m’annonça aussi qu’il allait aussi organiser d’autres parties spéciales pour moi, car, dit-il, il y a encore tant de mâles dans cette ville qui « ne te sont ...
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