Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (29) : Rachid reprend « ses droits ».
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Jusqu’à présent, j’ai décrit le cheminement de notre couple, celui qui nous a conduits à laisser libre cours à mon hypersexualité et au candaulisme de Philippe. J’ai beaucoup insisté sur les deux ans où nous étions sous la coupe de Rachid, parce que ce fût une période où nous avons été au bout de nos envies et fantasmes respectifs, sans entraves, mais où nous sommes souvent allés trop loin, ruinant notre réputation et nous mettant quelquefois en danger par des pratiques extrêmes. Si aujourd’hui Philippe et moi nous sommes toujours ensemble et avons réussi dans l’ensemble à mieux réguler nos pulsions, sans toutefois y renoncer, il y a eu une période où nos chemins, à Philippe et moi, se sont temporairement éloignés. Sous l’influence de Flavienne, l’ancienne compagne de Philippe et, en ce qui me concerne, de Hassan, qui fût plus que mon second « mâle », mais aussi mon second mari et le père assumé de ma seconde fille, avant que Philippe et moi nous nous retrouvions et que nous reconstituons notre couple. Cette séparation a duré 18 mois et a montré, à l’un comme à l’autre, combien nous étions complémentaires, je dirai même inséparables. L’hypersexuelle que je suis a besoin de l’amour de son mari candauliste et la réciproque est vraie également. Cette période difficile nous a cependant permis de nous libérer de Rachid. Rachid le cruel Celui-ci m’avait complétement négligé pendant les dernières semaines de ma grossesse. Il ne vivait plus sous notre toit et ne cachait pas qu’il ...
... était désormais chez Marie C., qui trouvait là une nouvelle occasion de me faire souffrir et espérait provoquer la jalousie de Philippe. Il ajouta que pour le moment, il n’avait «plus envie » de moi. Comme je l’ai raconté, ce brutal « sevrage», après une longue période où Rachid avait exacerbé tous mes sens, fut difficile à vivre. Philippe, par sa tendresse et son désir, compensait comme il le pouvait. Depuis longtemps, et compte tenu des calibres des amants qui s’étaient succédé près de moi, mon mari ne pouvait m’apporter satisfaction par pénétration vaginale, et en particulier dans mon état. Sans parler de ses tendances à l’éjaculation précoce. Je devais me «contenter» avec lui de ma dose régulière de sperme, car nous avions toujours notre rite que je le pompe dès le réveil et, à chaque fois que j’en avais envie dans la journée. Il y avait aussi le doigtage et les cunnilingus pour lesquels Philippe excelle, sans parler de la sodomie que je lui accordais volontiers, plus pour son plaisir que pour le mien. Comme je l’ai raconté dans le récit précédent, j’avais fini par prendre un amant régulier, Alain, pour calmer mon hypersexualité et pallier la désertion de Rachid. Et ce d’autant plus que j’avais appris, ce qui avait provoqué ma colère et de vis reproches envers l’homme de ma vie, que Philippe s’était rendu plusieurs fois chez Marie C. pour des parties à trois, Rachid étant aussi l’amant de Philippe, à qui il avait fait assumer sa bisexualité refoulée (voir récit n°18) C’était ...