LA BOITE DE NUIT
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
Lesbienne
Partouze / Groupe
... s’ajouter à d’autres traits de sperme, ou souiller notre tenue. Nous sommes bientôt littéralement baignées par la semence de tous ces hommes.Pourtant nous avons envie de plus. Une envie commune. Un regard échangé, et je plonge dans l’un de nos sacs à mains pour att****r une boite de préservatifs. Deux queues viennent de s’encadrer dans les trous, deux belles queues déjà bien érigées et nous savons ce que nous voulons en faire.Chacune d’entre nous déchire l’emballage du préservatif pour en tirer une capote huileuse. Nous la faisons glisser avec habileté, question d’habitude, sur la queue offerte. Ainsi gainée la queue sera notre jouet ultime.Ce que beaucoup d’hommes ont du mal à accepter, lorsqu’ils finissent la nuit avec nous, c’est que nous faisons bloc Charline et moi et nous nous donnons du plaisir en les utilisant et à travers eux.Nous nous redressons, et nous nous retrouvons face à face, à quelques centimètres l’une de l’autre. La chaleur du corps de l’autre nous pénètre. Nous accrochons nos langues et nous les frottons l’une contre l’autre. Je gémis tellement c’est bon. Entre mes cuisses, un flot coule. Je me rends compte que tout ce que je peux faire avec Charline m’excitera toujours dix fois plus que ce que je peux faire avec un homme.Je crois bien que c’est quasi simultanément que nous nous penchons accrochées d’une main au corps de l’autre, et que de notre main libre, nous attrapons le sexe tendu contre nos fesses et nous le faisons rentrer dans notre ...
... vulve ainsi offerte. Les queues glissent en nous, nous remplissent, nous donnant un sentiment de plénitude.Nous tenant l’une à l’autre, nous laissons la queue qui est dans notre sexe y aller et venir, nous fouiller, tout en nous embrassant et nous caressant. Le sexe en nous, comme toujours participe à notre jouissance, mais il n’en est qu’un élément, cet orgasme qui nous secoue enfin n’est si puissant que parce que nous sommes l’une avec l’autre.Nous sentons le sperme de nos partenaires remplir le préservatif, la queue s’extraire de nous. Il nous reste des capotes et les queues suivantes ont la chance de venir dans nos entrailles, d’y trouver la jouissance, et de nous procurer des orgasmes.Puis nous reprenons nos caresses manuelles et buccales, jusqu’à ce qu’ enfin, plus tard, on ne sait plus trop quand, ayant perdu toute notion du temps, il n’y ait plus aucune queue devant ces trous découpés dans un contre-plaqué de mauvaise qualité.Nous nous asseyons sur le siège, épuisées, couvertes de sperme, mais heureuses.On sort de la cabine. L’étage est désert. Nous épongeons les dégâts au lavabo, utilisant l’une des serviettes empilées là sur un tabouret à cet usage peut-être.Quand nous remontons, nous avons le sentiment, mais c’est peut-être une illusion, que tous les regards convergent vers nous.Il est deux heures du matin. Nous rentrons chez nous dans la ville aux rues quasi désertes, sauf pour les oiseaux de nuit comme nous, songeuses, nos talons tapant sur le macadam.