1. Scout : toujours prêt !


    Datte: 13/12/2017, Catégories: fh, couple, vacances, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, jeu, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession,

    ... attacher, contre un arbre ou ailleurs. Voila l’idée : j’allais leur montrer. Mais surtout leur montrer comment attacher quelqu’un et savoir défaire les liens d’une simple traction. Martine a gentiment accepté de me servir de "prisonnier". On a profité d’une éclaircie pour tester "le cowboy attaché au totem". Totem sous forme de piquet de parasol. Je ne vous dis pas le ridicule de la situation ! Ensuite j’ai pensé au " prisonnier sur une chaise". Martine écoutait la radio pendant que je m’évertuais à la saucissonner. Au bout d’un moment, je pensai avoir réussi. Ses bras étaient attachés dans le dos, derrière le dossier, et chacune de ses chevilles faisait corps avec un pied de la chaise. Je contrôle mon œuvre. Tout semble parfait. C’est sûr que pour les enfants il faudra que je trouve une chaise encore moins haute, et surtout sans dossier ; un tabouret devrait fait l’affaire. La position tire les épaules de Martine en arrière et fait bomber sa poitrine. Je réalise que cette situation inconfortable a cependant le mérite de mettre en valeur ses seins, qui repoussent le chemisier. Ma femme a de très beaux seins, avec un galbe parfait et une tenue qui ferait – et qui fait – pâlir bien des femmes plus jeunes. En toute honnêteté, c’est l’association de la Nature et de la chirurgie qui donne ce résultat. Vers les cinquante ans, elle a voulu les faire augmenter et redresser. Je n’avais rien contre, et cela m’a beaucoup plu. Pendant les vacances, elle ne met pas de soutien-gorge ; ...
    ... enfin, lorsque les enfants ne sont pas là. Les enfants ont toujours du mal à imaginer leurs parents, la mère surtout, ayant des envies un peu légères. C’est d’ailleurs une des raisons qui fait que nous leur avons toujours caché que, justement vers la cinquantaine, nous avions commencé à fréquenter la plage nudiste. Attendre notre âge pour cela ne pouvait leur donner que de fausses idées. Et pourtant, rien de plus naturel ni de moins suggestif. Donc je n’ai d’yeux que pour ses deux obus dont les tétons cherchent à perforer le tissu. Martine ne me voit pas, plongée dans son émission sur l’Histoire. Mais lorsque je commence à détacher les petits boutons que mes doigts malhabiles malmènent, elle se réveille. — Mais, Jean, que fais-tu ? À quoi bon répondre ? Déjà les deux seins sont à l’air et mes mains viennent s’en emparer. Encore une fois j’en apprécie la fermeté mais aussi la douceur, la peau encore laiteuse par ce printemps pourri. Mes caresses font leur office et les tétons se tendent un peu plus. Maintenant je me penche pour venir sucer leur pointe et déclenche un frisson chez ma prisonnière. Martine a peu de liberté de mouvements, mais la façon dont elle se contorsionne ne peut être que par envie. Envie de plus, peut-être. Déjà une main glisse sur son ventre, cherchant le chemin de la jupe. Mais elle est trop serrée et je n’y arrive pas. J’abandonne cette voie et descends jusqu’aux cuisses. Un regard me fait prendre conscience que Martine est cuisses ouvertes car j’ai attaché ...
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