1. Scout : toujours prêt !


    Datte: 13/12/2017, Catégories: fh, couple, vacances, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, jeu, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession,

    ... ses chevilles sur le côté extérieur des pieds de chaise. Une onde de sensualité traverse mon corps et brûle quelques neurones. Elle est offerte, disponible, ne pouvant rien refuser à son geôlier. Mon visage se blottit entre ses seins, ma bouche passant de l’un à l’autre alors que chacune de mes mains progresse à l’intérieur d’une cuisse, à l’endroit où la peau est veloutée et tendre. J’atteins la culotte, mais d’une pichenette je la repousse. Voilà ; une main a franchi la barrière et s’est glissée entre le pubis et la lingerie. Je passe sur un bourrelet qui déclenche un sursaut chez ma partenaire pour atteindre la vallée du plaisir. Je sais que c’est une vallée douce, soyeuse, que les poils ont abandonnée depuis longtemps. Deux doigts glissent entre deux montagnes pour plonger dans un abîme de douceur et d’humidité. — C’est bon… C’est ce que j’entends dire par ma prisonnière qui n’en peut mais ! Le peu de liberté que les liens lui laissent, elle les utilise pour déplacer sa chatte vers ma main. Sa chatte est une mare humide où je plonge deux, puis trois doigts, gardant le pouce pour son petit bouton. Quelques secondes de mouvements pendant que de mes dents je mords ses tétons, et j’ai le plus beau des cadeaux qu’un amant puisse obtenir : cette crispation qui tétanise le corps et qui annonce la jouissance. Elle grince des dents, signe que le plaisir est intense. J’ai peur un instant qu’elle se blesse en tirant trop fort sur les cordages. Enfin elle se calme. Je recule un ...
    ... peu. — Chéri, c’était merveilleux. Quel bonheur ! Et puis elle ajoute, tout en me regardant : — Et toi ? Son regard attire le mien. Mon short montre une magnifique bosse. Une bosse que je ne connais plus sans l’aide de la médecine, ou en tout cas jamais sans une aide féminine. Maintenant que je me suis totalement redressé de mon mètre quatre-vingts, mon ventre est à la hauteur de ma femme, une position que la perversité de l’instant exacerbe. J’ose. L’instant est particulier. Déjà le peu de soleil laisse l’ombre envahir la pièce. Mon short et mon slip ne font bientôt plus qu’un tas sur le sol. J’enjambe ma prisonnière. Mon sexe dur mais tout de même pas vertical se penche vers le visage où une opportunité apparaît. Martine a ouvert sa bouche, et en penchant la tête ses lèvres viennent capter mon gland. C’est à moi maintenant de frémir. Je le sens gonfler et durcir comme un serpent se dresse pour bondir. Déjà je pousse mon ventre pour offrir un peu plus de mon sucre d’orge. Martine ne me refuse pas ; mieux, elle fait de son mieux pour m’accepter. Mais il y a des limites. Ses yeux pleurent, elle tousse : je vais trop loin. Mais une prisonnière ne peut rien me refuser. Je saisis sa tête entre mes mains et commence une danse du ventre qu’un guerrier apache ne renierait pas. Étrangement, Martine ne proteste pas de ce que je lui fais subir. Elle accepte ; mieux, elle ne semble pas indifférente. La situation m’a tellement excité que je sens l’éjaculation venir. En temps normal, je me ...
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