Scout : toujours prêt ! - Histoires de Sexe

Scout : toujours prêt !

... des vagues qui s’écrasent sur la plage. Je m’approche pour lui faire sentir ma queue contre ses reins. Je l’embrasse dans le cou. Elle se trémousse. Le bandana qui retient ses cheveux tombe au sol, libérant sa longue chevelure de blonde. Je me baisse pour le ramasser. Le nœud est défait. Je ne sais pas quoi en faire. Alors j’ai l’idée de l’utiliser comme bandeau. — Qu’est ce que tu fais ? me dit ma coquine de femme.— Juste pour jouer. Jouer : le mot magique depuis mai. Elle se laisse faire. Elle est aveugle, mais n’a pas besoin de voir pour sentir ma queue qui se glisse en elle. Elle est humide, preuve que pendant la marche sa libido a fait son chemin. Je suis en elle. Elle se tortille comme une cochonne. Nos nouveaux jeux nous ont libérés ; chacun se laisse aller et n’a plus honte de ses sens. Je reste immobile, bien enchâssé, et c’est elle qui ondule pour frotter sa grotte avec mon bâton encore plus gros. Soudain un bruit. Elle s’arrête. — Qu’est ce que c’est ? dit-elle, inquiète.— Rien. Une branche qui est tombée à cause du vent. Rassurée, elle reprend son doux labeur. J’ai alors une idée. Je me penche sur elle et souffle à son oreille : — Il y a quelqu’un qui regarde. Je sens qu’elle s’arrête. C’est moi qui commence à lentement la travailler. — Qu’est ce qu’il fait ? me demande-t-elle, de nouveau inquiète.— Chut, ne dis rien : tu vas l’effrayer. Faisons comme si nous ne l’avions par vu. Je coulisse lentement. Il me suffit de fléchir les genoux et de me redresser pour ...

... que ma queue monte et descende. Maintenant je commente la présence de notre voyeur imaginaire. Imaginaire pour moi ; mais pour Martine ? — C’est un jeune… Il avance un peu… Il vient de remarquer que je l’ai vu… Il s’inquiète… Il recule un peu… Il va se sauver… Qu’est-ce que je fais ? Je lui fais signe de rester ? Moi, cela m’excite. Et toi ? J’accompagne mes questions de coups plus forts pour lui montrer mon envie. Enfin, sort des lèvres de ma Douce un mot d’assentiment, qui montre bien que ce que je lui décris l’excite : — Oui. Je reprends ma description imaginaire : — Voilà, je lui fais signe de rester… Il l’a vu… Il me demande s’il peut approcher… Martine reprend ses mouvements de reins alors que j’accélère ma bourre. C’est bon ! Je laisse passer un long moment sans parler. Mais c’est elle qui me demande : — Qu’est-ce qu’il fait maintenant ?— Oh, il n’est pas très loin… Il regarde… C’est un nudiste aussi, il est nu… Son sexe est assez gros… Il se masturbe… Il crache dans sa main pour l’étaler sur son sexe… Oh !— Quoi ? s’inquiète ma femme.— Son sexe est vraiment gros. J’accélère mes mouvements, de plus en plus fort. Je reprends : — J’aimerais avoir une queue aussi grosse ; je pourrais te prendre encore mieux. Plus fort. Plus profond. Tu rugirais sous mes coups… Tu l’imagines ? Tu sens comme elle te dilate. Elle gonfle encore. Martine est sous le charme. Elle gémit sous mes coups et peut-être à cause de mes suggestions. Elle jouit. Son vagin se contracte, sa liqueur coule. ...