La Voyageuse Solitaire
Datte: 13/12/2017,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
jardin,
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fsoumise,
cérébral,
revede,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
orties,
journal,
... avant. Et avec qui ? Mais oui, très probablement avec toi, Olivier, si tu le veux encore. — Tu es ailleurs ! Froide. Tu ne m’aimes plus. Tu mériterais… Il s’est emparé de mes poignets, m’a écarté les bras, me clouant sur le lit. J’aurais pu participer plus activement. En réalité, Olivier me plaît beaucoup, beaucoup, et j’aime tout ce qu’il me fait. Tu es une femme-objet. Ne bouge pas. Ne bouge pas ou je t’attache. C’est de cette manière qu’il avait présenté les choses, au bout de quelques mois, probablement pour pimenter notre baise, qu’il devait déjà trouver trop banale. Comme il me ressemble ! Il a donc pris les liens habituels, pour m’écarteler. J’adore et ne m’en lasse pas… La plume de goéland, dont les pointes de mes seins apprécient tant les caresses et les vibrations rapides, quand il la manipule entre le pouce et l’index, a rempli son office. Entre le pouce et l’index aussi, il les aurait pincées, gonflées de sève comme elles l’étaient, les si sensibles pointes de mes seins, si je le lui avais demandé, car il m’arrive de lui demander de me faire mal. Elle est descendue, la plume de goéland, vrillant mon nombril au passage, taquiner mon clitoris, glisser entre mes lèvres entrouvertes. — Viens en moi. Tout de suite. Je n’ai pas voulu qu’il me détache et le plaisir est aussitôt venu, intense. Mes liens m’auraient permis de bouger un peu mais je me contraignais à la plus complète immobilité. Si l’un d’eux me liait ainsi, le samedi 24. Et qu’il ouvre ensuite la porte de ...
... la chambre. — Sophie est à vous. Faites-lui ce que vous voulez. C’est parce que je pensais cela que j’ai joui si fort. L’innocent Olivier était content de lui. À Sophie pantelante, ce mâle dominateur a cru devoir affirmer une nouvelle fois qu’elle aurait tort d’aller retrouver sa fameuse tribu. — Tu n’as d’ailleurs jamais voulu me dire ce qui s’était réellement passé, voilà dix ans.— Il ne s’est rien passé. Pas grand-chose. Quelques-uns ont chanté des chansons paillardes, bien innocentes. Maman, qu’est-ce qu’un pucelaaage ? C’est un bel oiseau qu’on met en caaage… — Tu étais vierge ?— Ensuite un certain Christophe a récité un extrait du Cimetière Marin de Paul Valéry. Tu sais, le cousin Paul desVacances de la Comtesse de Ségur. Alors tu vois !— Tu n’as pas répondu à ma question.— Tu dois bien te douter de la réponse. Vierge ? Et mon cousin David ! Et les copains de la caverne de Platon, si peu platoniques. La tente couverte de neige était ouverte à tous comme la fente d’un sexe femelle, le mien. Réalité, fantasme ? Tu voudrais bien le savoir mais tu ne le sauras pas, Olivier. Et j’irai retrouver la tribu, rien ne me fera changer d’avis. Quant à ce qui s’est passé, ce soir-là, chez les parents de Virginie… Elle avait dit que sa chambre était à la disposition de ceux qui auraient envie de s’isoler. Christophe m’y a entraînée, j’avais fait ce qu’il fallait, il a refermé ses bras autour de moi, nos lèvres se sont rencontrées, il a taquiné mes seins des doigts, des lèvres et de la ...