Histoire de pied (1)
Datte: 04/07/2017,
Catégories:
Trash,
je me suis installé à la table du fond, sous cette copie de ce tableau célèbre, les chiens qui jouent aux cartes. C’est le café des amis, chaque soir, il accueille ceux qui rentrent en train du travail. Dans ce vaste établissement public, il n’y plus de cadres, plus d’ouvriers, autour d’un verre, ils sont des hommes et des femmes. Tout le monde connait tout le monde. Et elle est arrivée, superbe dans sa courte jupe noire, son chemisier blanc qui laisse devenir une superbe poitrine. C’est la première fois que l’on se voit et pourtant on se connait par cœur. Elle est visiblement aussi troublée que moi par ce premier rendez-vous. Et puis, elle sent peser sur elle tous les regards des clients présents, personne ne la connait. Une inconnue ne passe jamais inaperçue, surtout si elle est très belle. Elle s’assoit à côté de moi, nous nous embrassons sur les joues. Elle penche sa tête, poussant la nappe pour regarder mes chaussures. Elle vient de découvrir les préservatifs collés sur le côté intérieur de mes chaussures. Son sourire me fait plaisir. Nous buvons un verre quand sa main, déjà moite d’excitation se pose sur ma cuisse. Elle n’est là que pour vivre son fantasme, un fantasme longuement préparé, mis au point dans un très long échange de mail, de petit message. C’est elle qui m’a découvert, c’est encore elle qui a voulu que ce soit moi et pas un autre. Ce qu’elle ignore, c’est où tout va commencer. Ici, dans ce bistrot près de cette gare de banlieue, c’est là que tout ...
... commence. Je me penche à son oreille. Lui susurre de se glisser sous la table. Elle jette un bref regard inquiet autour d’elle et obtempère docilement. À genou, elle se penche encore sur mes chaussures, les lèche lentement, soulevant mon pied pour me nettoyer la semelle. Ma main se perd sous sa jupe, elle mouille, complètement excitée. Peu à peu, l’établissement se vide. Je pousse mon majeur dans son sexe, le fait aller et venir avant de l’enfoncer lentement dans son anus. Les photos d’elle ne sont qu’un très pâle reflet de sa beauté. Je sens sa langue sur mes chaussettes, je ne me suis pas changé exprès. Elle peut sentir le nauséabond de mes pieds qui, toute la journée, ont marché de long en large dans mon usine. Il est l’heure de la suite. Je la relève, son visage irradie de bonheur, déjà. Je paie, l’entraîne dans ce petit square, la nuit est tombée. Tout autour de nous, on peut entendre les télévisions cracher leurs programmes insipides. Elle est devant moi, ses mains dans le dos. Je défais son chemisier pour mieux masser ses gros seins, elle doit bien avoir du 90 C. ou plus encore. Qu’importe, sa poitrine me plait. Elle ne cesse de fixer mes pieds quand sa courte jupe glisse sur le sol. Punaise, on n’en voit pas souvent des femmes aussi bien faites. Je caresse son corps un long moment. Je la fouille, sans honte, pervers, vicieux même. Son corps ondule déjà, sa tête se renverse, elle est chaude, très chaude même. J’insiste pourtant, je veux la faire jouir debout. Elle peine à ...