Histoire de pied (1)
Datte: 04/07/2017,
Catégories:
Trash,
... visage, sa poitrine, son ventre, son sexe baveux à souhait et l’enfonce dans sa bouche. je viens de la freiner. J’ai ajouté quelque chose à notre scénario, une fessée avec la semelle de ma chaussure. Je la couche en travers de mes cuisses, la fesse et peu doucement car elle pousse de petits cris à chaque coup reçu. Je laisse tomber ma pompe, glisse mes doigts dans sa chatte ouverte telle une fleur. Un, puis deux, et enfin tous, sauf mon pouce qui joue avec son clitoris. Lentement je force son sexe, le dilate le plus possible pendant de longues minutes. Je sens ma compagne d’un soir paniquer, une femme approche avec son petit chien. Elle ne peut pas ne pas nous voir. Elle hésite à s’approcher de nous et déjà mon pouce rejoint l’ensemble de mes doigts dans son sexe. Ma petite compagne ondule encore plus fort, tout comme cette tempête qui se forme dans son corps. La femme est près de nous, ni belle, ni moche, elle nous sourit. Je la salue d’un mouvement de ma tête pendant que dans les entrailles de ma compagne, mon poing se forme et déclenche cette tempête de plaisir dans son corps. La femme au chien est stupéfaite de voir ma douce jouir de la sorte. Tout autour, nul n’ignore ce qui se passe dans le square désormais. — Tu peux maintenant. — Mais elle ? — Elle nous observe, rien de plus et quand bien même, elle peut te caresser, me sucer, ou faire ce qu’elle veut, c’est à toi de faire et lentement sinon je sévis encore. Docile, elle fait glisser un préservatif sur mon pied en me ...
... présentant son cul, sa chatte largement ouverte et baveuse. Elle sait qu’elle va prendre son pied, seule la présence de cette tierce personne n’était pas prévue. Ma main s’enfonce encore dans son sexe, je ferme mon poing, le poussant encore plus loin, le faisant même tourner et retourner, de droite à gauche et de gauche à droite avec des mouvement de va et vient. Son corps n’est plus qu’une tempête de plaisir qui se déchaîne sans fin. Il ne manque que le tsunami qui va la ravager. Mon pied prisonnier de cette capote, la croupe de ma belle se présente au-dessus, me faisant face. Se mordillant sa lèvre inférieur, c’est, comme pour moi, une première dans notre vie sexuelle. Déjà mon gros orteil est en elle. Le dernier disparait lentement et minuit sonne à un clocher. La femme, l’inconnue est derrière ma belle, penchée pour mieux voir. Je l’invite à s’assoir près de moi. je ne lui laisse aucune chance d’échapper à mon baiser goulu. — Regardez là, n’est-elle pas magnifique ? — Cela doit faire mal. — Bien moins qu’un accouchement, pour tout dire, que du plaisir. Ce n’est pas le visage de ma belle qui nous dit le contraire. Il respire le bonheur. Je ne fais plus rien, c’est à elle de s’achever avec mon pied qu’elle veut en elle jusqu’à ne plus voir mon talon. Ma queue en érection, je me branle sous le regarde de notre inconnue. Je la vois désireuse de me sucer. Je ne l’en prive pas, l’invitant d’une main sur sa nuque. Elle se penche et me pompe lentement, délicieusement. Devant moi, ...