1. « Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 2 : Quand Marion me murmure « Je suis ta salope »


    Datte: 13/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pendant qu’on s’échangeait ces quelques mots tendres. Le diner touchait à sa fin. Qu’est-ce qu’il faisait chaud chez elle. Elle avait dû pousser ses radiateurs à fond. Je lui ai fait remarquer en retirant mon pull. Elle m’a souri en disant que c’était fait exprès. Et tout en me fixant dans les yeux, elle a déboutonné 2 boutons de son chemisier pour laisser entrevoir la naissance de ses seins emprisonnés dans la dentelle noire. La température venait encore de monter de plusieurs degrés. Je lui ai dit que si elle continuait, je ne répondais plus de rien. Son unique réponse fût d’enlever un bouton supplémentaire. « Tant pis pour toi, tu l’auras voulu » ai-je dit en me levant. « C’est de ta faute » a-t-elle rétorqué en se levant à son tour. Elle a pris ma main dans la sienne et est partie déterminée vers sa chambre. Des bougies y étaient également allumées, rendant l’atmosphère romantique. Face à face, j’ai terminé le travail en déboutonnant les boutons restants pour enlever son chemisier. J’ai caressé ses petits seins à travers la fine dentelle. Elle frissonnait alors qu’il devait faire 25°. Je l’ai vu passer lentement ses deux mains derrière ses fesses, tirer vers le bas ce qui devait être une fermeture éclair puis se trémousser pour faire descendre sa jupe le long de ses jambes. C’était des bas qu’elle avait mis, des dim up. Et au milieu trônait un petit tanga noir échancré coordonné à son soutien-gorge et au travers duquel on apercevait un fin ruban de poils courts et noirs. ...
    ... Très joli ensemble et très jolie vue. Pour une fois je n’ai pas su quoi dire. Elle m’a enlevé mon tee-shirt puis elle m’a poussé délicatement pour que je bascule en arrière sur le lit, les pieds encore posés au sol. Elle est venue à califourchon sur moi et nous avons échangé un long baiser alors que mes mains se promenaient sur sa peau brûlante, visitant sa nuque, son dos, ses hanches, ses fesses. J’essayais maladroitement d’enlever son soutien-gorge mais j’ai toujours été nul pour dégrafer ces foutus trucs. Elle a fini par prendre pitié de ma maladresse en l’enlevant elle-même. Elle s’est penchée de nouveau contre moi et cette fois-ci je sentais la pointe de ses deux tétons s’exciter contre mon torse pendant qu’elle continuait à me dévorer la langue. Dans cette position et en passant par ses fesses, j’arrivais à atteindre du bout des doigts son sexe que je caressais à travers la dentelle avec la pulpe de l’index et du majeur. J’en ressentais l’humidité qui imprégnait le tissu et ses lèvres gonflées qui s’écartaient d’elle-même d’excitation. Mais à peine tentais-je de passer sous l’élastique de son tanga que Marion s’échappa. Telle un reptile, elle rampa le long de mon corps, non sans avoir lécher chaque cm de ma bouche à mon ventre. Elle s’attaqua à ma ceinture puis à ma braguette tout en continuant à butiner mon nombril. Une fois ouvert, elle posa ses lèvres sur la bosse que formait ma queue avant de toute descendre du même geste jusqu’à mes genoux. Elle prit mon sexe de la ...