« Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 2 : Quand Marion me murmure « Je suis ta salope »
Datte: 13/12/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... main droite, le mis à la verticale et l’avala sans plus de cérémonie. Le cou tendu vers elle, je voyais sa tête monter et descendre sur mon vit puis je finis par laisser retomber ma tête pour me concentrer sur les délicieuses sensations que la pipe de Marion me procurait. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais une fois satisfaite de son travail, Marion libéra son otage luisant de sa salive, fit le chemin inverse toujours en rampant, et d’un geste sûr, une main écartant son sous-vêtement, l’autre autour de ma tige, elle s’empala en laissant échapper un souffle rauque. Ancrée sur ma bite d’amarrage, elle ondulait, louvoyait, tanguait, roulait. Et mes mains en faisaient de même autour de ses tétons érigés. Elle se retira avant d’atteindre le point de non-retour, se remit debout et descendit le long de ses jambes le tanga qui la gênait. Qu’elle était excitante ainsi tout juste habillée de ses bas. Je me redressais pour me libérer de mon jean et de mon caleçon entortillés autour de mes mollets. J’avais du mal à me concentrer alors qu’avec un visage mutin et toute à son plaisir, Marion m’attendait debout la main droite s’activant entre ses jambes. Elle se retourna, s’approcha du mur qui était en face de son lit, posa sa main gauche à plat dessus un peu plus haut que sa tête, sa droite toujours nichée entre ses jambes, se cambra et tourna juste son visage vers moi en me disant « viens, baise-moi ». Marion avait décidé que ce soir c’était elle qui dirigeait. Cela ...
... m’allait très bien. Je me suis approché d’elle, j’ai pointé mon gland contre son sexe et j’ai poussé. Marion en lâcha un cri de satisfaction. Je l’ai baisé comme ça, debout, alors que je la tenais fermement par ses hanches. Je tapais fort et je lui demandais si elle aimait ça, si elle sentait bien ma bite ou si ça la faisait jouir. Elle me répondait par des « oui, vas-y, encore, mets-la moi bien profonde » et par « elle est bonne ta queue » ou « elle est grosse, je la sens bien ». On montait crescendo et, encore maintenant je m’en souviens très bien, c’est quand elle a osé « oui, plus fort, défonce-moi, je suis ta salope » que j’ai tout lâché au fond d’elle alors qu’elle jouissait, ses doigts crispés sur son clitoris, son vagin se contractant sur ma queue comme s’il voulait traire les dernières gouttes de sperme qui me restaient. J’ai posé mon visage sur son dos perlé de sueur salée afin de reprendre mon souffle tandis qu’elle avait mis son bras gauche en arrière pour poser sa main dans mes cheveux. C’est à ce moment là que pour la première fois on s’est dit « je t’aime ». C’est une étape importante pour un couple naissant, même si le nôtre est quand même particulier. J’ai fini par me retirer à regret car du sperme coulait sur mes couilles et le long de sa cuisse droite sur son bas. Elle est partie chercher une serviette dans la salle de bain pour nous essuyer, a enlevé ses bas et on s’est lové sous sa couette pour se câliner amoureusement. J’ai dû m’endormir en deux secondes.