1. Xanths (2)


    Datte: 13/12/2017, Catégories: Trash,

    ... vie d’avant, ma famille, mes amis, mes études. Tout ça pour me retrouver perdue, du jour au lendemain dans un monde étrange, dont je ne savais presque rien, prête à me faire tuer au moindre accident, ou pire… Epuisée, je finis par m’endormir. *** Je me réveillai quelques heures plus tard, encore toute endolorie par ma couche, en pierre. Je partis boire là où Zvolk m’avait indiqué une source d’eau, non sans faire attention avant de sortir de la « zone de sécurité ». En revenant, je regardai la petite plante au fond de la caverne : des traces de terres étaient visibles au sol, reliant l’emplacement originel du végétal jusqu’à l’endroit où Zvolk l’avait replanté : il faudrait que je les efface. Haute d’une dizaine de centimètre, large d’à peine un ou deux, elle se tenait bien droite. Je m’approchai : Il lui avait pissé dessus, l’odeur sentait encore. J’eus un haut le cœur, hors de question que j’enfonce cette chose dans mon intimité, d’autant qu’elle était bien plus épaisse que celles sur lesquelles il m’avait trouvé, et pire encore, qu’il avait uriné dessus. J’hésitai à explorer les environs pour me trouver à manger : j’avais toujours été très mauvaise en orientation, mais la topologie du terrain semblait facile à repérer. Le problème, c’était qu’il était complètement découvert, mis à part les trois buissons qui cachaient ce pan de la falaise. Finalement, j’abandonnai l’idée, par peur. Mon ventre grouillait : j’étais complètement morte de faim. Il fallait que je mange. Non ...
    ... sans dégout, je m’approchai de la plante pour la toucher du bout du doigt : elle y resta collée, dégageant une étrange sensation de chaleur. Elle se mit à grossir, passant de la taille d’un pouce à celui d’un pénis de bonne dimension. Je l’imaginai en moi, tremblante de désir malgré mon dégout et mes convictions. J’avais tellement faim… Mais s’il restait coincé à l’intérieur ? Comme les autres étaient restées accrochées à mon corps ? Zvolk ne m’avait pratiquement rien expliqué, et je sentis une colère intérieure se développer à son encontre. Bizarrement, elle avait perdu de sa couleur verdâtre, pour se rapprocher du jaune : était-elle en train de faner ? Et pourquoi était-elle toute seule alors que des centaines avaient abusé de mon corps la fois dernière ? J’étais complètement à la rue. J’attrapai le couteau, au cas où, je pourrais toujours m’en servir. Je me plaçai à califourchon au-dessus du végétal, non sans grimacer, descendant doucement sur mes cuisses. J’émis un cri de surprise lorsque le végétal frôla mon clitoris : la sensation de chaleur sur mon entrecuisse fut instantanée, se répandant à travers tout mon ventre en une fraction de secondes. Lorsque j’eus enfin le courage de me rebaisser, elle se mit à mon grand étonnement à bouger le long de ma fente. Je gémissais : le végétal se mouvait seul, il glissait le long de ma vulve, essayant parfois comme de s’étirer pour entrer dans mon intimité. Pour moi : le plaisir montait, mes peurs s’effacèrent, je me sentais joyeuse ...
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