Christine I : Prémices et frustrations (1)
Datte: 14/12/2017,
Catégories:
Hétéro
Malgré ses incroyables yeux bleus ciels, Christine, 20 ans, est loin d’être la première à taper dans l’œil des garçons de la classe durant cette année scolaire, c’est le moins que l’on puisse dire. Car Christine semble être deux personnes dissociées qui auraient été mal assemblées : de la tête à la taille, rien vous indique que cette petite rousse aux cheveux mi-longs est ronde, très ronde du bas : des cuisses comme des jambons de Bayonne surmontées d’un cul énorme. C’est dommage, car Christine est une fille agréable, pétillante, souriante et drôle. Février 1995. Moi, Florent, 19 ans, je me retrouve associé avec elle pour effectuer un travail de recherche en cours d’histoire. Cela ne me fait plaisir de travailler avec elle, car nous nous entendons très bien. Passionnés par notre sujet, nous ne lésinons pas sur les efforts et travaillons plusieurs heures par semaine, pendant les pauses, sur notre travail. Cependant, peu à peu, il me semble que l’affection amicale que me portait Christelle se transforme. Il me semble qu’elle n’est pas indifférente, bien qu’elle sorte avec un dénommé Christophe depuis deux ans. De mon côté, une forme d’attirance naît également. Christine est vraiment une fille bien et je m’aperçois que nous sommes très fréquemment sur la même longueur d’ondes. Les mêmes idées, les mêmes réflexions, elle me fait rire autant que je la fais rire. Et puis ses yeux sont féériques, sa bouche m’attire tout autant que ses seins ou sa peau très blanche. Et je dois ...
... bien le reconnaitre, ses fesses commencent également à m’exciter. Début mars, même si cela n’est pas tout à fait nécessaire, je la convaincs de venir à la maison un mercredi après-midi pour consulter un volumineux ouvrage appartenant à mon grand-père, trop lourd pour que je puisse l’amener en cours. Christine parcourt attentivement les quelques pages que je lui ai indiquées comme étant intéressantes. Elle n’est pas dupe. Nous prenons quelques notes mais nous abandonnons rapidement notre travail. Nous nous asseyons par terre et écoutons de la musique en papotant et en riant. Il ne fait désormais aucun doute que Christine est charmée. Je l’embrasse et elle répond. Je suis agréablement surpris par son baiser : elle embrasse divinement bien, sa bouche est douce et sa langue habile. Pendant que nous nous embrassons, je ne peux résister à l’envie de lui caresser les seins. Ronds et fermes, ils me plaisent immédiatement. Elle glisse les mains sous mon t-shirt et caresse mon torse, j’adore. Je commence à ouvrir son chemisier. Elle rougit, me laisse faire et je découvre un joli soutien-gorge Vichy et ses jolis seins. Christine retire mon t-shirt. Nous nous couchons au milieu de la chambre. Je suis au-dessus d’elle et pendant que nos langues ne cessent de rouler l’une dans l’autre, elle écarte les jambes. Mon sexe frotte contre le sien au travers de nos jeans. Elle gémit doucement, ferme les yeux et des plaques rouges apparaissent sur son visage tandis que je commence à déboutonner son ...