1. Christine I : Prémices et frustrations (1)


    Datte: 14/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... jeans. Elle proteste mollement et me laisse le retirer. Son string est assorti à son soutien-gorge. Tandis qu’elle s’allonge sur mon lit, j’enlève mon jeans et la rejoins. Nous nous embrassons et nous caressons de plus belle. Je fais tomber une bretelle de son soutien-gorge, puis l’autre. Ses seins blancs apparaissent alors. Ils sont vraiment splendides : pas bien gros, mais bien ronds et fermes. Je les embrasse, elle gémit. Je lui embrasse le ventre, le nombril puis son sexe à travers le string. Lorsque je tente de le lui enlever, elle la retient et me dit qu’elle ne veut pas. Je sens l’odeur de sa chatte, son string est tâché de mouille. knqkoovx Nous continuons à nous embrasser. Malgré sa réticence à aller plus loin, je lui caresse le minou à travers sa culotte. Puis je glisse ma main à l’intérieur de cette dernière. Pilosité abondante. Elle me laisse la caresser son clitoris en tenant mon bras durant quelques secondes, elle mouille beaucoup, puis me demande d’arrêter, car dit-elle, si je continue, elle ne pourra plus se contrôler. Elle m’embrasse en riant. L’odeur de sa mouille est entêtante et très excitante. Christine glisse alors sa main dans mon caleçon et me branle quelques secondes. Elle descend ensuite mon caleçon et regarde mon engin qu’elle tient en main. — Profites-en !, lui dis-je. — Non, je ne peux pas, je ne peux pas faire ça ! Je suis déjà bien assez mal comme ça. Et puis… je n’ai jamais fait de fellation. Je n’ajoute rien. Je lui dis que je ...
    ... comprends. Nous continuons nos baisers et nos caresses. J’aimerais qu’elle se tourne, j’aimerais voir ses fesses, mais Christine évite soigneusement que je les voie depuis que j’ai retiré son jeans. Je n’insiste pas. Nu, je reviens entre ses jambes. Je simule un pénétration en lui tenant les jambes écartées et Christine tient mon sexe qui va et vient contre le sien. Elle gémit et je me dis qu’à un moment, elle va écarter le string et me diriger à l’intérieur. Mais non. Nous "jouons" encore une dizaine de minutes comme ça. Je regrette vraiment de ne pas avoir vu ses fesses, mais comme ma mère risque de rentrer, nous nous rhabillons. Au moment de partir, nous nous embrassons et je lui dis que j’ai très envie de la revoir. Elle pose son index sur mon lèvres : — Je ne pense pas que ça va être possible. Tu sais que j’ai un copain. J’ai adoré cet après-midi, mais je regrette tout de même de m’être laissée aller. Le lendemain en cours, Christine ne laisse rien paraitre, tous comme les jours qui suivent. Elle agit comme s’il ne s’était rien passé entre nous. Je trouve son naturel désarmant et cela me plait. Début mai, durant le cours d’histoire, le prof annonce que nous avons obtenu la note maximale pour notre travail. Sur le coup, Christine me saute spontanément au cou, au milieu de la classe, puis rougit comme une pivoine en constatant son "imprudence". De mon côté, je la "cherche", la provoque doucement, elle semble beaucoup apprécier que je lui cours après. Et même un peu plus. 
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