1. Le premier courriel de Coralie - Histoires de Sexe

1. Le premier courriel de Coralie

... la salade qu’elle se contente de picorer, l’air soucieux. J’ai promis à mon amie de lui téléphoner à 21 heures et, après m’être excusé, je me lève et m’éloigne vers le jardin. Quand je reviens, sans avoir pu joindre Coralie, il y a du changement. Sur la table d’abord, où le saladier a laissé la place au plateau de fromages et au gâteau, mais aussi dans la tenue de la jeune femme : Audrey ne porte plus de soutien-gorge et le chemiser déboutonné laisse apercevoir deux seins fermes et bien galbés. À peine assis, je sens un pied remonter ma jambe de façon décidée et se loger dans mon entrecuisse où il commence à s’activer. Je suis très surpris, mais la caresse est agréable, mon sexe réagit et je le sens se tendre. J’ai du mal à poursuivre la conversation entreprise tandis qu’Audrey me fixe de ses yeux verts. Soudain, alors que mon sexe comprimé par le pantalon devient douloureux, la caresse cesse. Tout aussitôt, Audrey se dresse, me prend par la main, m’invite à m’asseoir sur le canapé. Elle défait ma ceinture, déboutonne ma braguette, commence à faire glisser mon pantalon. J’accompagne le mouvement et voici mon vêtement entortillé sur mes chevilles. Elle commence à mordiller mon sexe à travers le tissu du slip tout en glissant ses mains sous ma chemise pour venir pincer mes tétons. Mon corps ne sait pas s’il ressent plutôt de la douleur ou plutôt du plaisir, mais il apprécie ce traitement. Puis elle retire mes mocassins pour libérer mes chevilles du pantalon qui les ...

... entravait. Elle se redresse devant moi, déboutonne ma chemise et l’envoie rejoindre mes autres vêtements avant de faire de même avec son chemisier et sa jupe. Ses seins sont magnifiques et je ne peux retenir mes mains qui s’empressent de les empaumer, d’en titiller les mamelons qui se dressent bientôt vers le plafond du vaste séjour. Nos lèvres se rejoignent et, pendant que nos langues s’activent, mes mains glissent sur ses fesses, gentiment mises en valeur par un string assorti au soutien-gorge. Nous restons enlacés plusieurs minutes, caressant nos corps de nos mains avides. Elle m’entraîne sur la terrasse, m’allonge sur un bain de soleil revêtu d’un épais coussin, se met à genoux devant mes jambes, écarte mon slip et commence à lécher mon sexe. La caresse me fait frissonner et j’apprécie sa langue experte. Elle va-et-vient, fait le tour de ma hampe, monte, descend, agace le frein ou le méat. Je me surprends à gémir de contentement. J’ai envie de lui rendre la pareille, mais elle poursuit ses cajoleries et, d’un coup, avale entièrement le bâton de chair. Sous la surprise, mon corps s’arque sur le siège ce qui, mécaniquement, lui fait serrer les dents. Je pousse un cri de douleur et elle s’excuse timidement avant de reprendre là où elle s’était interrompue. Quand elle juge que le résultat est satisfaisant, elle se redresse et, enjambant le bain de soleil, fait quelques pas vers le haut de mon corps. Arrivée à hauteur de mon visage, elle écarte son string, dévoile son sexe nacré et ...