1. Le premier courriel de Coralie - Histoires de Sexe

1. Le premier courriel de Coralie

... appuyés. La pleine lune s’est levée et éclaire violemment le bassin. Audrey sort de l’eau et, sans s’essuyer, se dirige vers l’intérieur de la maison. La vision de son corps, irisé de gouttelettes, avec ses seins qui pointent vers le ciel, son ventre plat et les friselis de son pubis, est un enchantement. Je sens mon sexe se réveiller, prêt à entrer de nouveau en action. À son retour, mon amante tient d’une main la bouteille de champagne vide dont elle retire soigneusement l’enveloppe du goulot. J’aperçois aussi un petit flacon dont j’ai du mal à distinguer ce qu’il contient. Elle s’approche alors du matelas qui a accueilli nos premiers ébats, me tend les deux récipients, s’agenouille et pose les coudes sur le coussin. Je suppose un instant qu’elle souhaite être prise en levrette, mais je me trompe. Elle veut que j’enduise le goulot de la bouteille du lubrifiant contenu dans le petit flacon puis que je la sodomise avec. J’objecte qu’elle va avoir mal, que son œillet me semble trop étroit pour cela. Elle s’oppose à mes réticences en déclarant que depuis deux ou trois ans il y a peu de bouteilles qu’elle a bues qui n’aient ensuite rempli cet office. Je capitule et, m’installant à sa gauche, procède ainsi qu’elle m’a demandé. Une fois le col de la bouteille recouvert de vaseline, je le place sur son anus et l’y insère lentement. D’abord, je dois forcer un peu pour le passage le plus étroit ; ensuite, le godemiché trouve son chemin et sa lente pénétration me fascine. Audrey ...

... m’encourage de la voix. Dans le même temps, sa main gauche a saisi mon phallus et commence à le masturber. Quand il est bien dur, elle s’agenouille, s’empare du flacon d’onguent, en enduit mon sexe et retire la bouteille de son anus. Je comprends ce qu’elle attend maintenant de moi. Je me place derrière elle et, aussi lentement que j’ai tout à l’heure introduit le flacon dans ses entrailles, j’y plante mon gland puis ma verge tout entière. La place a été bien préparée, le lubrifiant joue bien son rôle et je me glisse là sans difficulté. Audrey m’encourage à commencer quelques va-et-vient ; je choisis de la pilonner sans ménagement. Mon chibre s’enfonce au plus profond de ses reins puis ressort presque entièrement avant de replonger à nouveau. La jeune femme apprécie ce traitement et, pour augmenter la pression, je m’empare de ses seins que je serre à pleines mains. Pour s’empêcher de crier et d’ameuter le quartier, elle mord à pleines dents le tissu du matelas. Pour la troisième fois de la soirée, je sens que je vais éjaculer. Je me retire définitivement, la fais basculer sur le dos, me mets debout, mes pieds entourant ses hanches et, après quelques allers et retours de ma main sur mon sexe, je me répands sur sa poitrine et son ventre. Après une douche rapide, elle me congédie, prétextant qu’elle ne peut dormir correctement que toute seule, d’autant qu’elle a encore diverses démarches à accomplir durant la journée du lendemain. Elle me promet cependant de me téléphoner dans la ...