1. Découverte de la perversité et du libertinage


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral préservati, pénétratio, confession, cocucont,

    Il y a quelques jours, ma femme et moi sommes allés chez un photographe dont nous avons fait la connaissance sur Internet. Nous cherchions des photos de paysages pour décorer notre salon. Le rendez-vous était pris pour nous présenter quelques unes de ses réalisations. Il nous a reçus dans son atelier parisien. Jean-Luc, un homme de taille moyenne d’une quarantaine d’années, souriant, assez brun avec une moustache et une calvitie bien avancée. À première vue, pas un acteur hollywoodien. Nous nous sommes assis et il a sorti quelques panneaux de photos. Nous n’avons pas flashé sur ses photos. En jetant un œil sur la table basse devant nous, j’ai vu, posés pêle-mêle, des clichés dont certaines photos de femmes nues. Il a vu mon regard. En riant, un peu gêné, il m’a dit qu’il pratiquait la photo de plusieurs types de paysage. Il fallait reconnaître que les photos étaient très jolies et sensuelles. Il nous a servi un Coca puis s’est assis avec nous en commentant ses photos érotiques. Les prénoms des modèles, leurs jobs, toutes étant des amatrices. Puis il a regardé Selma et lui a dit : — Si tu veux, je peux faire des photos de toi ! Elle m’a jeté un regard interrogatif et un peu choqué. Comme elle ne disait rien, il a enchaîné : — Retire ton gilet et ton chemisier, tu vas voir. En même temps qu’il le disait, il s’est levé, s’est mis derrière elle et avec des gestes sûrs, il a retiré le gilet, le chemisier et le soutien-gorge. Toujours sans s’arrêter, il lui a enfilé le gilet en ...
    ... ne boutonnant que le premier bouton. Résultat, ses seins étaient cachés par les pans du gilet mais le bas des seins et son ventre apparaissaient largement. — Voilà comment on fait une photo érotique, on croit tout voir et on ne voit rien. Nous n’avions toujours pas dit un mot. Sur sa lancée, il l’a prise par la main pour la mettre debout puis a sorti un appareil pour faire quelques shoots. Il a tourné l’appareil vers nous pour montrer le résultat. J’ai alors dit : — C’est vrai que c’est pas mal du tout.— Tu trouves, répondit Selma avec un sourire timide.— Retire ta jupe, tu verras, ce sera encore plus joli, répliqua Jean-Luc. Elle a descendu la fermeture éclair, laissé glisser la jupe puis retiré ses collants (des bas eussent été plus appropriés !) sur un string rouge carmin. — Super, reste comme ça. De nouveau, il a shooté. — Regardez, elles sont top. Il faudrait juste que tu prennes des poses un peu plus sensuelles. Selma a répondu qu’elle ne savait pas trop comment faire. Sans hésiter, il s’est approché d’elle et, tout en tournant la tête vers moi pour dire : — Tu m’excuses. Il a appuyé sa main gauche entre le haut de ses cuisses. — C’est plus facile pour une femme d’être sensuelle quand elle est excitée ; crois-moi, je fais souvent comme ça avec les autres modèles. Selma n’a pas bougé, l’homme a laissé sa main et s’est mis à la caresser. Elle a commencé à onduler du bassin et à se cambrer : — Tu vois, ça marche. Jean-Luc s’est reculé et a repris son appareil pour quelques ...
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