Découverte de la perversité et du libertinage - Histoires de Sexe

Découverte de la perversité et du libertinage

... photos. Selma était debout, vêtue simplement d’un string très aguichant et d’un gilet ouvert masquant à peine ses seins, les reins cambrés vers Jean-Luc en train de mitrailler. Il a ensuite posé son appareil et, comme si je n’étais pas là, il s’est approché d’elle jusqu’à appuyer son ventre sur ses fesses. Sa main gauche s’est posée sur sa hanche puis est remontée doucement le long de son corps jusqu’à attraper son sein gauche. Sa main droite caressait la cuisse pendant ce temps. Nous étions passés à autre chose sans que je sois vraiment choqué. Il m’a dit de prendre l’appareil pour continuer la séance. Il a retiré sa chemise dévoilant un torse très velu. Selma s’appuyait de ses deux mains sur une commode pendant qu’il retirait son pantalon et son caleçon. Son sexe en érection était posé sur ses fesses. J’étais très excité de la voir se laisser faire. Je crois que c’est ça qui a fait que je n’ai pas réagi. Au contraire, je prenais des photos comme il me le demandait. Il a redressé Selma et lui a retiré son gilet. Il était collé contre elle, son sexe serré entre les fesses de Selma et son propre ventre. Il a retourné Selma et allongé sur la table basse. Il lui a retiré son string et a léché sa chatte avec beaucoup de douceur et d’attention. Selma a posé sa main sur sa tête et simplement dit : — Continue. Puis elle s’est redressée, se retrouvant face au sexe turgescent, elle lui a fait une fellation qu’il a manifestement appréciée. Je continuais de shooter. Il l’a prise par ...

... l’épaule pour l’inviter à s’allonger sur le canapé, les fesses au bord. À genoux, il s’est mis entre ses cuisses. D’un geste très assuré, il s’est retourné pour ouvrir d’une main un tiroir de la commode dont il a sorti un préservatif. Il l’a enfilé dans un délai record. De sa main droite, il a guidé sa queue jusqu’à l’entrée du vagin de Selma. Il a avancé le bassin et a commencé à la pénétrer. Elle a émis un léger gémissement. J’ai vu son corps se tendre. Ce fut comme un électrochoc pour moi. J’ai posé l’appareil photo, les yeux exorbités. Je venais de réaliser ce qui se passait. Un inconnu, ce Jean-Luc, était en train de baiser ma femme. J’ai senti une boule au fond de mon ventre, je me suis mis à reculer jusqu’au mur. J’aurais voulu me fondre dedans, disparaître. Devant moi, je voyais Jean-Luc faire des mouvements de bassin de plus en plus rythmés. Il était en train de la prendre à fond. Elle avait ses jambes relevées autour de lui, la tête basculée en arrière, le souffle court. Ils prenaient leur pied. Au bout d’un moment, Jean-Luc s’est retiré. Il a relevé Selma pour la mettre en position de la levrette. De nouveau, il a pris sa bite dans la main pour l’orienter entre les fesses de Selma. Il s’est introduit avec précaution. Je ne respirais presque plus. J’étais effrayé mais je me suis aussi rendu compte que j’étais très dur dans mon caleçon. J’étais aussi très excité de les voir. Je suis resté plaqué au mur. Incapable de faire autre chose. Jean-Luc s’est mis à la labourer de ...