Une chance de cocu 5
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
A dormir debout,
... connu, ça ne fait donc pas de mal, au contraire ça fait du bien où ça passe: elle peut recommencer, trouve agréable de pouvoir comparer. Elle sait comment faire pour que le cocu soit fier d'être père. Chacun a ses caractéristiques propres qui tiennent aux dimensions, à la texture mais aussi à la manière de se servir du rouleau de chair ferme qu’il présente à l’enfournement. Il faut reconnaître un avantage à l’amant. Pour lui tout est tout neuf, tout beau et donc il découvre, se montre plus curieux et s’efforce de s’attacher sa récente conquête, alors que le mari cède à l’habitude et paraît moins curieux, moins attentif,plus routinier. A armes égales, l’épouse trouve au nouvel accédant à son sexe un charme qui s’est émoussé chez le mari. Elle ne connaît plus la solitude, deux hommes en alternance reviennent avec des bourses rechargées. Il suffit d’avoir un calendrier à jour pour éviter les télescopages. Le mari téléphone pour la prévenir de l’heure de son retour. Elle lui préparera son petit plat préféré, promet-elle, alors que son amant s’occupe à lui bouffer la chatte pendant le coup de fil. Le second lui arrache en pleine conversation téléphonique des cris de plaisir que le premier interprète comme des cris de joie à cause de son retour. Au volant il rêve aux retrouvailles. Entre les cuisses de l’infidèle l’amant se nourrit de choses concrètes. Vite fait elle se laisse prendre un dernier coup et convient du signal qui annoncera que la voie est libre dès que le mari ...
... reprendra la route. Elle fait généreusement le bonheur de deux hommes. J’aurais donc eu tort d’avoir négligé de lui annoncer mon retour cette fois? Peut-être Elodie avait-elle cédé aux sollicitations d’un rusé profiteur temporaire. Je n’aurais pas dû précipiter la rupture, m‘a dit le contremaître. J'aurais dû reconquérir ma place grâce à un peu de patience et beaucoup d'indulgence. Nos points de vue divergent. Léon en personne avait connu pareille mésaventure. Sur l’ordinateur du bureau, un soir il avait rencontré une délaissée, s’était rendu à un rendez-vous et avait évité de peu de se retrouver nez à nez avec sa propre épouse. A partir de ce jour il avait su faire les efforts nécessaires pour calmer les bouffées de chaleur et les envies amoureuses de Martine. Ah! Il l’avait consolée du rendez-vous manqué. Léon avait chargé, culbuté, sabré, foré, bourré, épuisé sa femme. Ca lui avait coûté des kilos superflus et de la vigilance. Sa femme étonnée de son regain d’appétit en avait profité au point de ne plus se manifester sur internet. Je pensais à ses conseils en roulant, mais sur fond de chaussée d’autoroute, je revoyais les battements des cuisses blanches d’Elodie autour des hanches noires de son amant, ses petits pieds qui battaient l’air, et le bas de son dos soulevé jusqu’à mettre en évidence son petit trou aux bords ridés. Dans mes oreilles résonnaient ses plaintes d’amour et le bruit mouillé de la queue qui battait la mesure dans son minou trempé. Fermer les yeux, se boucher ...