1. Une chance de cocu 5


    Datte: 15/12/2017, Catégories: A dormir debout,

    ... les oreilles et se montrer conciliant, admettre de partager sa femme avec des coucous: je suis encore trop jeune pour avoir atteint ce degré de sagesse. Moi, j’avais ordonné au séducteur de terminer son œuvre. Un honnête homme ne quitte pas une femme qu'il a chaufféeà blanc sans la mener à l'orgasme, ne bâcle pas son travail, ne fuit pas: c'est ce que j'avais enseigné à Boubou la panique.En dehors de l’aveu de sa honte, Elodie s'était soumise à mes ordres et à la pénétration de son récent amant. Elle aurait pu se révolter, mais ne l’avait pas violemment repoussé comme elle aurait dû le faire si elle m’avait aimé. La bite de Boubou lui avait anéanti toute trace de lucidité. Surprise en pleine acrobatie amoureuse, elle aurait pu chercher à s’excuser de marcher sur les mains aiguillonnée comme un bœuf par le dard planté dans son sac à foutre. Au lieu de se révolter, elle s’était livrée devant moi, avait connu l’orgasme et consommé l’adultère jusqu’au bout. Ah! La garce, comme elle avait su me rouler dans la farine et se rouler dans le stupre. Par-dessus tout il y avait ce « je t’aime »adressé à l’amant au moment de l’orgasme. Il la taraudait devant moi, il lui graissait les joints, la remplissait de son sperme et elle, les yeux fixés sur moi, sans me voir, l’encourageait à la manœuvre en lui adressant une déclaration d’amour. Sous mes yeux, les bords de sa vulve enflée s’auréolaient d’une bave blanche que le piston vivace extrayait du vagin inondé de semence fraîche. A mon ...
    ... retour d'expédition en Espagne, trois jours plus tard, j’appris qu’elle s’était vu refuser un emploi dans mon entreprise. Léon l'avait trouvée éhontée après le tour qu'elle m'avait joué. Le coucou d’Afrique s’était déjà envolé, elle devrait travailler et aurait moins de temps pour se livrer à la gaudriole. Plus tard on me l’annonça vendeuse dans un magasin de confection. Je ne voulais plus la voir ni répondre au courrier désespéré qu’elle déposait chez Léon. Elle était assez jolie pour se trouver un autre homme à tromper, j’avais donné, je ne voulais plus rien savoir de cette enragée qui avait continué à baiser et à jouir en ma présence avec un autre homme, un inconnu, même pas mon meilleur copain! Pour une fois elle s’était pliée à mon ordre sans protester vraiment, ne comprenant pas que j’attendais qu’elle se révolte violemment, qu’elle rejette l’homme contraint de reprendre l’ouvrage par le cocu furieux. Avait-elle imaginé que j’allais les applaudir ou, pourquoi pas, me joindre à eux pour une partie à trois? J’ai été très touché par l’amabilité de ma logeuse. A mon retour elle a absolument tenu à me servir un repas chaud. En mangeant je l’observais. Elle devait avoir une quinzaine d’années de plus que moi, la quarantaine bien sonnée, mais avait su garder une ligne impeccable, était très soignée. Elle voulut entendre le récit de mon dernier voyage. Elle s’était renseignée pendant mon absence et me fit comprendre qu’elle plaignait le mari bafoué. Elle compatissait et se tenait à ...