Un ballet romantique et ses suites perverses
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
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Oral
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Ce soir-là, Dame Luuna m’avait donné rendez-vous à 19 h 30, devant chez elle, pour assister ensuite à une représentation du Lac des Cygnes au Palais des Congrès. Après l’avoir rapidement embrassée dans l’entrée de son immeuble, nous échangeâmes une bouteille de champagne à mettre au frais contre une caisse en plastique transparent contenant l’une de mes occupations du week-end à suivre. Puis, une fois Dame Luuna installée à mes côtés à l’intérieur de ma voiture, je devins le plus heureux des hommes en conduisant vers le rideau qui devait se lever à 20 heures. Dans les jours qui précédaient cette sortie, Dame Luuna et moi étions convenus que je lui obéirai sans aucune restriction à l’issue de la représentation de ce ballet romantique. La veille, elle m’avait écrit ce message de rappel : « Bonjour mon chien-chien, je suis ravie de te voir mercredi. L’idée de jouer, de profiter et d’abuser de toi me garantit un plaisir sans fin ! Il paraît que c’est comme le vélo, ça revient vite ; enfin, je te le souhaite ! Éclat de rire. » À ce message clair, je lui avais répondu, sans hésitation, qu’il n’y aurait, en ce qui me concerne, aucune limite, aucun interdit, aucun tabou… tout en ayant mesuré la portée de ces mots. Je lui avais aussi avoué toutefois ma peur et mon appréhension à connaître des douleurs physiques, en la priant, lors d’éventuels moments de faiblesse, de me forcer, de m’attacher et de me contraindre pour m’aider à surmonter mes faiblesses. En écrivant ces mots, j’étais ...
... sûr de ma confiance en Dame Luuna, en espérant aussi lui donner du plaisir, des sourires et de l’amusement, tout en me livrant à elle. Sur la route du Palais des Congrès, Dame Luuna me fit confirmer, de vive voix, mon consentement éclairé à me soumettre à ses volontés pour la nuit qui allait suivre. Ma voiture garée dans le parking souterrain, nous nous dirigeâmes rapidement vers la grande salle de spectacle où deux places nous attendaient au premier rang devant la scène. Nous eûmes beaucoup de plaisir et d’émotion à regarder ces danseuses et danseurs qui ont fait revivre pour nous l’éternelle tragédie du Prince Siegfried amoureux fou d’Odette, femme la nuit et cygne le jour, prisonnière des maléfices du sorcier von Rothbart. Après un premier entracte où j’eus le plaisir de greloter sur le parvis du Palais aux côtés de Dame Luuna qui fumait, et un second entracte où j’ai pu "jouer mon amoureux", selon sa jolie expression, en dégustant avec elle du champagne, assis l’un à côté de l’autre, sur une banquette du hall, Dame Luuna regretta la version "happy end" du ballet où, pour elle, la mort des amants aurait été une fin beaucoup plus convenable. Le spectacle terminé, Dame Luuna décida que nous rejoindrions à pied, puis en tram son appartement, afin d’éviter une attente de près d’une heure, nécessaire pour sortir en voiture du parking souterrain. Après avoir cheminé tout en conversant au sujet de la domination et de la soumission, nous arrivâmes devant son immeuble pour une nuit ...