Un ballet romantique et ses suites perverses
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
fhh,
sm,
hbi,
hsoumisaf,
Oral
aliments,
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héros,
... dont je ne devais rien connaître d’avance… Alors qu’elle partit chercher quelques affaires pour me faire découvrir ensuite son donjon voisin, elle m’ordonna de m’asseoir sur la première marche de l’entrée de son immeuble en retenant la porte entrouverte. Je sentis la fraîcheur de cette marche dans une nuit froide et espérai vivement ne pas rencontrer de passants ou d’habitants de son immeuble qui se demanderaient immanquablement ce que je pouvais faire assis en costume noir et chemise blanche sur cette marche si basse et si froide. L’attente ne fut pas très longue en parcourant le programme du St-Pétersbourg Ballet. J’entendis une porte se refermer dans l’immeuble et, soulagé, je reconnus la silhouette de Dame Luuna qui descendait l’escalier en jean, bottes, pull, manteau et sa longue écharpe que j’adore sentir… Elle me tendit une grande tasse contenant un peu de ma boisson préférée, encore chaude de l’intérieur de son ventre. Mais elle m’interdit de la boire pour l’instant, ne pouvant qu’en sentir les vapeurs en marchant à ses côtés, sans rien en renverser. Nous reprîmes notre marche en direction de l’immeuble de son donjon, devant lequel elle s’inquiéta de ma propension à souffler plus que d’ordinaire en arrivant au troisième étage sans ascenseur. Le donjon ouvert, Dame Luuna ne m’offrit pas la possibilité de le visiter, mais m’ordonna, après avoir pu boire un peu du contenu de la tasse, de retirer tous mes vêtements et sous-vêtements, sans plus attendre. J’étais heureux ...
... de me mettre nu dans ce lieu encore inconnu, à côté de sa croix de St-André que j’avais eu l’occasion de découvrir sur l’une de ses photographies. J’étais aussi fier de lui faire découvrir que j’avais pris soin, le matin même, de raser intégralement mon torse, mon ventre, mon pubis, ma verge et mes fesses, avant de me présenter à elle ce soir-là. Ne s’arrêtant pas à ce détail, elle attacha rapidement mes poignets à des chaînes qui pendaient au plafond de la pièce, plaça sur mon visage un bandeau occultant ma vue, équipa mes tétons d’affreuses pinces et mes bourses d’autres pinces reliées à des fils. Toute cette installation me contraignait à demeurer sur la pointe des pieds ou à laisser mes poignets meurtris par le poids de mon corps. Je sentis ses mains caresser mon corps offert et contraint. J’eus l’impression de la savoir satisfaite de me retrouver ainsi entre ses mains pour la nuit. Elle me proposa aussi de terminer le pipi qui restait dans la tasse. Après mon acquiescement d’un signe de tête, elle m’aida à tout boire avec un grand plaisir de me désaltérer ainsi. Mais, l’espace d’un instant, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir, par un petit espace sous mon bandeau, un homme nu qui sortait de la chambre voisine et qui marchait à quatre pattes vers moi. Je reconnus, sans en souffler mot, le visage de Kaiirie, que Dame Luuna m’avait présenté un soir où je sortais d’un théâtre. Je refermai mes yeux afin de goûter davantage ce que j’imaginais déjà. Oui, Kaiirie, chien ...