1. A mon tour


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, fffh, jeunes, grosseins, caférestau, Oral pénétratio,

    Dimanche, lendemain de fête, un peu en vrac, éparpillée. Je suis rentrée à 7h00, un peu trop d’alcool, de cigarettes mais surtout beaucoup de sexe. Le fait d’avoir été entraînée dans cette soirée, d’y avoir participé activement me surprend encore. Je m’interroge aussi sur mes relations avec Edwin, où veut-il en venir, me prend-il pour un coup facile? Je me demande bien ce qui pourrait lui laisser penser cela d’ailleurs depuis une semaine que nous nous connaissons… Est-ce une approche calculée de sa part, est il coutumier de ce genre de séduction ou bien est ce autre chose que je n’arrive pas encore à percevoir? Agacée. Il doit me rappeler. J’ai néanmoins l’impression d’être menée là où il veut et cela ne me convient pas. Il est 11h30 maintenant, j’émerge, les draps blancs sont étalés autours de moi, je me force à m’étirer, un bras et une jambe dépassant du lit qui est aussi le canapé convertible de mon studio d’étudiante. Il fait grand jour dehors, le chaud soleil de juin inonde la pièce aux murs blancs crépis et brille sur les lames de parquet du studio, j’avais laissé les volets ouverts. Je me lève, nue, indifférente comme d’habitude à tout voisinage potentiel et me dirige vers la salle de bain. J’habite au 4ème et dernier étage d’un vieil immeuble bourgeois de la vieille ville de cette honorable citée universitaire. Il y a bien un autre immeuble tout aussi ancien en vis-à-vis mais je n’y ai jamais vu personne et puis je m’en moque. D’ailleurs je dors toujours nue, sauf ...
    ... pendant mes règles bien sur où une culotte suffit. Je réserve les nuisettes et autres dessous aux soirées sexy, où je finie généralement nue, et mon dernier tee-shirt pour la nuit doit dater de mes 15 ans. L’eau chaude de la paume de douche coulant sur mon corps désengourdit mes muscles, mon esprit s’éveille également. Je me savonne doucement, avec application, puis plus fermement, cherchant les stigmates d’une nuit agitée mais mes 19 ans ont absorbé sans soucis tous les hommages virils dont le seul souvenir d’ailleurs commence à allumer mes sens. Je coupe l’eau préférant garder mon énergie. Je dois à mon tour décider de ce que je veux faire d’Edwin. Il faut que je reprenne l’initiative, ce garçon me plait, notre relation très sexuelle m’excite mais pas question de rester passive, c’est tout simplement pas mon truc. Je me sèche doucement enroulant une serviette dans les cheveux sans arriver à contenir la dernière mèche blonde qui dépasse. Zut, je suis en retard. J’avais promis à Judith de déjeuner avec elle. On se connaît depuis toujours avec Judith, nous étions voisines dans notre village, le bac à sable, puis l’école, le lycée ensuite et aujourd’hui la fac. On a tout partagé : fous rires, larmes, colères et même un mec l’an dernier. Une nuit en vacances en camping, on repartait le lendemain et on avait flashé sur le même dans la boite de nuit. Impossible pour l’une comme pour l’autre de céder. On l’avait partagé dans sa tente, en se relayant à tour de rôle jusqu’a ce qu’il ...
«1234...9»