1. A mon tour


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, fffh, jeunes, grosseins, caférestau, Oral pénétratio,

    ... — Alors, comblé?— Redoutable, j’ai du mal à croire qu’elle ai osé— Pas désagréable j’imagine, et qu’a-t-elle dis en partant?— Que je prenne un dessert, sa copine veux que je prenne des force pour son tour. Je ne rigole pas! ajouta-il devant mon air stupéfait.— Ok Je me suis levée en disant que je voulais un dessert et que j’allais aider Mireille à le faire, s’il voulais aussi quelque chose. — Une île flottante— Tu rigoles, il va me falloir un quart d’heure pour la faire!— S’il te plait— Ok, a tout de suite Et je suis repartie. Dès que j’ai eu le dos tourné, même manège mais avec l’autre. Une disparition sous la nappe de notre table avec un sourire gourmand, une agitation dans les replis du tissu et l’air d’Edwin, aux anges. L’excitation de la situation et le charmant minois de la deuxième fille avait du lui redonner des vigueurs. Elle, de son côté avait l’air de déployer une ardeur de hardeuse. Connaissant déjà le film je me suis éclipsée à la cuisine. Après cinq minutes je suis revenue jeter un œil, Edwin avait l’air d’être sur le point de craquer. Ma préparation ne pouvant attendre je suis repartie à regret. J’ai continué en cuisine mais cinq minutes encore et je ne pu m’empêcher de retourner voir. Et là surprise, la scène avait changée, Edwin était toujours assis mais il avait son jean sur les chevilles et surtout c’est la brune aux yeux clairs qui le chevauchait sauvagement. Elle tenait Edwin par les épaule, assise sur son pieu dressé, la jupe retroussée à la taille et ...
    ... pas ou plus de culotte pour ne pas entraver le coulissement du piston de chair. Ses gros seins étaient sortis du chemisier dégrafé et ballottaient sous le nez d’Edwin qui visiblement appréciait. Sa copine était restée près d’eux et caressait les bourses d’Edwin tout en se caressant de l’autre main. À cet effet elle avait soulevé sa jupe et écarté sa culotte très échancrée laissant libre passage à ses doigts agiles. De ma place je pouvais voir sa toison noire soignée et ses doigts agiles s’activer. De ses voisins je voyais les fesses et la vulve écartée monter et descendre sur le pieu luisant de cyprine. Edwin avait lui une main sur un sein de chacune des filles. Contraste entre le sein lourd de sa cavalière et le petit globe de la latine. Je n’ai pas résisté à l’envie et malgré moi j’ai commencé à me caresser le sein gauche pendant que ma main gauche s’aventurait entre ma ceinture et le ventre écartant la culotte pour plonger directement au cœur de ma motte trempée. En face de moi les mouvements étaient plus précipités, comme toujours dans les moments volés où la prolongation du plaisir est oubliée en raison de l’excitation de l’interdit. Edwin besognait vaillamment la fille qui avait mis sa main sur sa bouche pour retenir ses gémissements. Sa copine toujours une main sur son clitoris s’était penchée sur la banquette et léchait les boules d’Edwin. Sentant mon étalon sur le point de jouir, la cavalière s’est retirée prestement et s’est accroupie, et à grands renforts de langues ...
«12...567...»