Tendre initiation
Datte: 17/12/2017,
Catégories:
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... lirait jamais. Il faisait beau mais pas encore trop chaud. Christine était bavarde et parlait de tout. J’admirais son vocabulaire et sa vivacité d’esprit. Sa conversation me fascinait. J’en viens à l’essentiel, elle me parla des hommes. De manière anodine, d’abord. Elle me complimenta sur mon physique, ce qui me fit du bien. Elle appréciait mes jambes. Elle trouvait que j’avais de beaux cheveux. Elle prit ma main et me caressa le bras, pour confirmer que j’avais la peau douce. La caresse n’était pas déplacée, mais j’en ressentis tout de même un frisson d’embarras. J’éprouvai même, je crois, une légère répulsion quand elle ajouta que j’avais aussi une poitrine sensuelle et que je crus sentir sa main poursuivre son mouvement pour en éprouver la fermeté. Je sais maintenant que j’étais troublée par cette femme, et ce d’autant plus que j’étais incapable de l’admettre. Quand je me demandai si elle était lesbienne, je m’efforçai de chasser cette pensée ridicule, comme prise en faute. Elle avait beaucoup de charme. Avec un peu plus d’expérience, j’aurais su reconnaître cette énergie sexuelle qui émanait d’elle toute entière, cette aura de désir et d’insatiabilité que je n’avais encore perçue sur aucun homme, et encore moins sur une femme. Je m’efforçai de ramener la conversation sur des sujets moins embarrassants, mais Christine me demanda comment j’avais connu Christophe et ce qui me plaisait chez lui. Quand je répondis un peu mièvrement, elle se fit insidieuse. Elle voulut ...
... savoir si je l’aimais. Pourquoi questionner l’évidence, pensai-je ? Quand deux personnes sont ensemble, c’est qu’elles s’aiment, non ? Je me vexai même quand elle me demanda si je l’avais déjà trompé. Elle ne sembla pas s’en offusquer. Pour elle, ma réaction était saugrenue et j’en restai décontenancée. Elle insista en me demandant si j’étais sûre de sa fidélité, à lui, et puisque je trouvai la question déplacée, Christine me regarda comme si, en plus d’être un échalas poilu, j’étais également la reine des bécasses. Mais pour moi, bien sûr, Christophe était fidèle. C’était… C’était mon Christophe, non ? Je n’aimais pas la tournure que prenait cette conversation. Pour ne pas me fâcher, elle m’expliqua sa conception des rapports entre hommes et femmes. Elle vivait seule mais couchait avec qui elle voulait, et n’avait pas attendu la disparition de son mari pour ça. Elle ne croyait plus au prince charmant, n’accordait sa confiance à personne a priori, mais si je filais le parfait amour, c’était une grande chance pour moi et je devais en profiter au maximum. À condition, bien sûr, d’être certaine que l’autre partageait les mêmes sentiments. Condition évidemment impossible. Comment ne pas douter, quand on aime ? La proposition qu’elle me fit alors était des plus douteuses. Demander à une amie d’essayer de séduire mon homme. S’il résistait, alors j’étais fixée, et s’il succombait, je n’aurais perdu que mes illusions. Je lui répondis que jamais je ne demanderais cela à une amie. Elle me ...