Tendre initiation
Datte: 17/12/2017,
Catégories:
ff,
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Oral
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... demanda si c’était parce que j’avais peur de perdre, mais plutôt mourir qu’admettre mes doutes. Par jeu, elle se proposa comme leurre. J’étais choquée, mais en même temps rassurée, car elle avait quand même trente ans de plus que Christophe. Elle avait beau être bien fichue, ça n’enlevait rien à la différence d’âge. À mes yeux, elle n’avait aucune chance. Elle était gonflée de vouloir essayer, tout de même. En retournant vers la maison, depuis une colline nous avons aperçu Christophe qui lézardait sur un banc de pierre près de la piscine. Une centaine de mètres nous séparaient encore de la résidence. Christine me suggéra de rester cachée là, tandis qu’elle éprouverait l’intégrité morale de celui que j’appelais en secret, parfois, mon fiancé. Je n’eus pas le temps de refuser qu’elle m’avait déjà plantée là. Alors j’attendis. De mon poste d’observation, je la vis approcher de la piscine. Échangeant quelques mots avec Christophe, elle enleva son short et son tee-shirt, sous lesquels elle portait son bikini noir de la veille. Elle plongea d’abord dans l’eau fraîche, fit quelques brasses, puis ressortit bientôt pour aller s’ébrouer près de mon ami. Elle lui emprunta sa serviette et, consciente de l’avoir éclaboussé, elle lui essuya la cuisse. Mon cœur s’arrêta de battre quand elle posa la main sur son caleçon. Je voulais qu’il la repousse, mais il n’en fit rien et elle s’inclina lentement sur lui. Il se laissa déculotter, épiant autour de lui pour s’assurer de mon absence. ...
... L’instant d’après, plus rien n’existait que le martèlement du casque rayonnant des cheveux de Christine contre le bassin de… mon ex. J’ignore combien de temps s’éternisa mon supplice. Pas plus d’une minute, sans doute. Christophe craignant –je le suppose– mon arrivée intempestive, ne tarda pas à s’arc-bouter en crispant ses mains dans les cheveux de notre hôtesse. Une partie de moi est morte ce jour-là. Parfois, j’en pleure encore. Je m’effondrai à genoux et passai un long moment à sangloter derrière mon arbuste avant de me décider à rejoindre la villa. Christophe se préparait un sandwich dans la cuisine. Il semblait nerveux, mais il souriait. Il s’approcha pour m’embrasser, maladroitement, et il reçut la gifle de sa vie. J’espère qu’il s’en souvient encore. Il essaya encore de me prendre dans ses bras, mais j’explosai. Je lui hurlai de partir, que je ne voulais plus jamais le voir. Je ne me contrôlais plus. En larmes, je le frappais de mes deux poings serrés. Une vraie furie, faisant reculer un homme de deux fois son poids. Je me souviens l’avoir mordu jusqu’au sang alors qu’il m’attrapait le poignet. Il me frappa. Christine intervint pour nous séparer. Je la haïssais. Elle ordonna à Christophe de quitter sur le champ sa maison, ce qui le calma d’un coup, et elle m’entraîna par le bras vers le garage. Je me débattais. Je ne voulais pas lui parler. Je ne voulais voir personne. Je voulais tuer. Je voulais mourir et je voulais tuer. Elle referma la porte derrière nous et me balança ...