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Tendre initiation
Datte: 17/12/2017, Catégories: ff, ffh, fbi, hplusag, fplusag, fagée, jeunes, vacances, piscine, amour, fsoumise, fdomine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, attache, baillon, fouetfesse, init, portrait, prememois, initff,
... par omission. Oui, Christophe se portait bien. Oui, Christine était encore là. Oui, elle était charmante. Ma mère sembla contrariée que Christine s’attarde avec « nous ». Connaissait-elle les mœurs de son amie ? Christine a proposé que l’on aille se baigner. Quand je lui ai dit que j’allais chercher mon maillot, elle m’a demandé de ne pas faire l’idiote. Personne ne pouvait nous voir. Je l’ai donc suivie jusqu’à la piscine et nous avons plongé nues dans l’eau fraîche toutes les deux. Quel plaisir, sentir son corps ferme et longiligne glisser dans l’eau contre le mien. Les jambes entrelacées, nous ondulions parfois toutes les deux du bassin en de longues et lancinantes étreintes. Sous l’eau, j’ai glissé ma main entre ses cuisses et senti pour la première fois le contact glissant de sa vulve. C’est là, la première fois que je l’ai goûtée. Elle s’était accrochée dos au rebord du bassin et faisait la planche. J’ai nagé jusque entre ses jambes. J’ai passé mes mains sous ses fesses et j’ai approché sa vulve de mon visage comme on porte à ses lèvres un calice. Elle a renversé la tête en arrière. C’était mieux. Je préférais qu’elle ne me regarde pas. J’ai lapé son sexe à fleur d’eau en me maintenant à flots par de petits mouvements de grenouille. C’était doux. C’était bon et j’en avais envie. J’y ai pris un plaisir inouï. C’était comme offrir à une autre femme la plus douce des caresses. ~~~oooOOOooo~~~ Je crois que nous avons fait l’amour dans toutes les pièces et dans toutes les ...
... positions imaginables. Elle me fit découvrir mon corps comme jamais Christophe –l’empoté– n’aurait su le faire. J’ai connu beaucoup d’hommes depuis, et même quelques femmes, mais rien de comparable avec cette merveilleuse initiation. Elle m’a même appris à me masturber. Ça peut vous paraître idiot, mais je ne l’avais jamais fait. Elle m’a initiée sous la douche, avec la pomme en position massage. Impossible de décrire le fou rire que nous avons piqué ce jour-là. Il y avait de l’eau partout. Je lui demandai de me parler de ses amants. Pour elle, les hommes étaient incompréhensibles. Il fallait les admettre tels quels, ou ne pas les admettre. Pourquoi trouvaient-ils un décolleté plus affriolant qu’un sein ? Pourquoi vouloir nous sodomiser quand on leur offrait de bon gré notre ventre ? Pourquoi cet acharnement à balancer leur crème partout ? Pourquoi ces extravagances quand faire l’amour était si simple ? Elle m’avoua qu’un jour, un de ses courtisans ne rêvait que d’éjaculer dans son décolleté. Il le lui avait avoué franchement et n’attendait rien d’autre d’elle. Elle refusa de me dire si elle avait accepté. Je crois qu’elle l’avait fait.« Si un jour un amant veut se répandre dans tes oreilles, m’avait-elle dit, ne cherche pas à comprendre. Tu n’y arriverais pas. Accepte ou refuse, mais la raison t’échappera éternellement.» À propos de la sodomie, elle m’avoua y prendre grand plaisir. J’étais effarée. J’avais toujours refusé cette aberration à Christophe. Elle me demanda alors si ...