Tendre initiation
Datte: 17/12/2017,
Catégories:
ff,
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Oral
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... je l’avais déjà sucé et ce fut comme un coup de poignard dans le cœur. C’est ainsi qu’elle m’initia à son jeu le plus fou. Le soir, dans sa chambre, j’étais triste. Allongée nue sur le grand lit, je repensais à Christophe. Christine s’en rendit compte et me berça tendrement contre son sein en me murmurant des mots doux. Je lui ai demandé si elle pensait avoir séduit Christophe parce que je n’avais pas su le satisfaire. Elle me répondit que j’étais bête, que les femmes mûres fascinaient les hommes jeunes et qu’il n’y avait rien à y faire. C’était sans doute à cause de leur « prétendue » expérience. Je lui demandai alors de m’apprendre tout ce qu’elle savait. Ma naïve demande la fit sourire. Avant d’accepter, elle me demanda si j’étais bien sûre de vouloir l’apprendre. Un peu inquiète, je lui répondis tout de même que j’étais prête. Elle me fit alors promettre d’aller jusqu’au bout. Comme j’hésitais, elle menaça de reporter la séance à une date indéfinie. Je lui fis ma promesse. — Comment te comporterais-tu avec un mec autoritaire, genre dominateur sexuel ? commença-t-elle par me demander.— Je ne sais pas, répondis-je. Je pense que je ne me laisserais pas faire, que ça me bloquerait et que je lui demanderais d’être plus tendre. Elle sortit alors de son armoire une petite boîte à chaussures qui contenait plusieurs foulards de toutes tailles. Elle m’annonça calmement qu’ayant toujours été partisane de l’éducation par l’exemple, elle allait me bâillonner pour cette première ...
... leçon. Si je voulais changer d’avis, je devais le faire maintenant, car après il ne me serait plus possible de parler. J’acceptai, et elle passa un gros foulard entre mes dents, qu’elle noua derrière ma tête. L’écharpe faisait deux fois le tour, scellant irrémédiablement mes lèvres. Je pourrais crier, gémir, mais rien articuler de compréhensible Elle prit nos deux oreillers et les empila l’un sur l’autre au milieu du lit. Elle me fit m’allonger à plat ventre au milieu, les deux coussins sous mon bassin. Je croyais avoir compris ce qui allait se passer. Je n’avais pas tout saisi. Avec deux autres foulards, elle attacha mes poignets aux montants du lit. Elle fit de même avec mes chevilles. Je me retrouvai écartelée, en X, les fesses en l’air à cause des coussins, exposée et impuissante. — Je vais te faire découvrir une sensation inoubliable, m’annonça-t-elle. Mais avant, je veux que tu acceptes tout de moi. Si tu es d’accord, cambre-toi. Un peu perplexe, j’obtempérai. L’instant d’après, une douleur cinglante me zébra les fesses. Je crus que Christine était devenue folle. Elle s’était armée d’une réglette en plastique et venait de m’en asséner un coup puissant. Je voulus me débattre mais les liens étaient serrés. Elle me rappela que j’avais promis. — Cambre-toi encore, répéta-t-elle. En reprenant mon souffle, j’obéis une fois de plus. Dès lors, les coups s’enchaînèrent, plus ou moins régulièrement, et je dus à chaque fois tendre mes fesses vers celle qui les maltraitait avec tant ...