1. Ophélie, de femme à femelle (12)


    Datte: 17/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Après avoir usé et abusé de mon cul et, jouis dans mes intestins, Arnaud me laissa glisser au sol, anéantie par tant de jouissance, tant de plaisir. Je me recroquevillai sur moi-même, aux pieds de mon maître, essayant de reprendre mes esprits, mon calme, les laissant discuter entre eux. Je ne sais pas l’heure, mais je pense que l’après-midi est bien avancée, il faut que je rentre, retrouver mon mari, ma vie de famille, de bourgeoise coincée, mais, je n’en ai pas envie ! Je suis bien là, couchée aux pieds de mon maître, mes seins, enfin libérés mais toujours douloureux, l’anus débordant de sa semence. Pourquoi rentrer pour m’ennuyer chez moi ? Pour faire retomber mon excitation ? Pour me sentir abandonner ? Comment puis-je penser ça ? Je laisse mon corps décider pour moi, il faut que je reprenne le contrôle avant que je ne devienne une véritable salope, une pute….. Mais comment résister aux puissantes jouissances, aux pénétrations brutales et douloureuses, humm, j’ai de nouveau le feu au ventre, je sers les cuisses pour essayer de me calmer mais c’est trop tard, je le sais, je le sens, il me faut encore ma dose de sexe. Je me tourne à même le sol, m’allonge sur le dos, tout en écartant au maximum mes cuisses, devant mon maître, lui exhibant ma chatte brulante et brillante. Je sens leurs regards sur moi, et ça me met dans un état d’excitation folle, je fais glisser mes doigts jusqu’à mon sexe, jouant avec mes lèvres, avec ...
    ... ma mouille, me mettant 2 doigts dans ma chatte en feu. Je suis en chaleur, j’en peux plus, je ne remarque même pas qu’Arnaud c’est levé et, est au-dessus de moi, le sexe pendant vers moi. J’ai envie de le surprendre, de l’exciter mais, mon initiative n’a fait que de l’énerver. Il empoigna mes tétons, les serrant si fort que j’ai un réflexe avec ma main, essayant de les repousser. En ouvrant les yeux je vois de la colère dans son regard, il commence à me tirer les seins, me soulevant du sol, en aboyant : - Qui t’as permis de te toucher sale truie ? qui t’as permis de jouer avec ta chatte ? Au bord des larmes, je le supplie d’arrêter, de me lâcher, que je suis désoler, que je ne recommencerai plus, mais apparemment, ça ne le calme pas, il me soulève toujours par les seins, je ne sens plus mes tétons, trop étirés et pincés. Lorsqu’il me lâche, je retombe lourdement par terre et, quand je regarde mes seins, je vois des bleus et des marques. Mon dieu, comment je vais expliquer toutes ces marques ? - Pierre, donne lui ses vêtements et fous la dehors, pas de temps à perdre ! dit-il tout en s’éloignant de moi. D’un coup, prise de panique, je me jette à ses pieds, m’agrippant à son mollet pour le retenir, lui demandant de me pardonner, que je ne recommencerai plus. Il essaie de se dégager, me repoussant du pied, levant la jambe mais je m’accroche de toutes mes forces, me faisant trainer par terre, comme un boulet. Agacé par mon attitude, Arnaud m’empoigne les cheveux, me tire vers le ...
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