Ophélie, de femme à femelle (12)
Datte: 17/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... haut et m’administre une gifle magistrale qui me fait siffler l’oreille. - Si je te garde, je vais te punir si fort que tu t’en souviendras pour toujours ! c’est vraiment ce que tu veux sale trainée ? aboya Arnaud tout en me secouant la tête. Les yeux pleins de larmes et la joue encore cuisante de la gifle reçue, je continu de le supplier de me garder, de faire ce qu’il veut de moi, de me punir comme je le mérite. Je sais que je vais être maltraitée, mais je ne peux pas me résoudre à le perdre. Pour toutes réponses, il me jette mon téléphone. - Appelle ton mari, dit lui que tu ne rentres pas ce soir, tu as du boulot et demain, tu invites tes responsables à déjeuner pour travailler à la maison. J’obéis comme une bonne élève, je tombe sur l’aide-soignante, lui expliquant que je suis bloquée au bureau pour d’important dossier, que je ne pourrais pas rentrer mais que demain, je lui donne sa journée car je travaille à la maison. Elle comprend plus ou moins bien, et elle me passe mon mari qui me dit qu’il m’aime, que je lui manque et me souhaite bon courage, comme si il devinait ce que j’allais subir. Je le remercie et raccroche, attendant dans l’angoisse ma punition, qui fut effectivement très dure. Pierre me releva et, me maintiens les coudes coulés dans le dos, faisant ressortir mes gros seins qui furent fouetter, cravacher par un badine si fort, que quelques gouttes de sang coulèrent jusqu’à mes tétons. Malgré mes plaintes et pleurs, Arnaud continua jusqu’à ce que le ...
... résultat lui plût. Ensuite, je fus conduite dans une salle d’eau, lavée au jet comme en prison, insistant bien sur mon cul. Une fois la toilette terminée, Pierre m’apporte mes affaires à mettre. Un top beaucoup trop petit, comprimant ma poitrine meurtrie, et une minijupe si courte qu’elle ne couvre pas entièrement mes fesses, le tout agrémenté de talons de 10cm. En me regardant ainsi vêtue, mal coiffée et pas maquillée, je ressemble vraiment à une prostituée d’aire d’autoroute. Une fois prête, je me pose devant mon maitre, tête baissée, mains dans le dos. Il fait le tour, me complimentant sur ma tenue, me disant que je ressemble à une vraie pute et, pour vérifier mon état, il me passe sa main sur ma chatte à peine couverte. - C’est bon, Pierre tu nous suis, on a une dure nuit qui nous attends, dit-il en rigolant. En montant dans la voiture, je me rends compte qu’il est plus de 22 heures, que cela fait plus de 12 heures que je suis en train de me faire baiser, maltraiter et, je commence à fatiguer. D’ailleurs, à peine le portail franchi, je plonge dans un sommeil réparateur, ne me souciant pas de l’endroit où nous allons, je m’endors tranquillement, à coté de mon maitre en sécurité. Je me réveille en sursaut, par le bruit de quelqu’un tapant à la vitre. Essayant de faire le point rapidement, je remarque que je suis toute seule dans la voiture, la jupe relevée face à deux hommes derrière la vitre. Je panique et essaie de me cacher, mais je remarque tout de suite un mot signé de mon ...