Disco Girl
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
ffh,
fbi,
jeunes,
grossexe,
vacances,
sauna,
danser,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
hff,
Résumé du chapitre précédent : Après le stratagème de l’orgasme volé et dévastateur dans le jacuzzi, Tiphaine continue de tendre ses filets autour de Charles. Alors que j’arrive bonne dernière ce matin au petit-déjeuner pour faire mon effet, je laisse bien constater à tout le monde que je suis d’une humeur étrange. De fait, j’ai dormi comme un loir et si je suis en retard, c’est que j’ai eu un mal fou à me tirer des bras de Morphée. J’ai les yeux brillants (de collyre) comme si j’avais pleuré. Julia et ma mère me posent quelques questions concernant ma santé. J’y réponds de façon évasive en fixant Charles bien droit dans les yeux d’un air étrange. Il pique du nez dans son assiette aussitôt en chipotant ses céréales. Il est pâle et semble avoir mal dormi. Pauvre chéri. Je m’en veux un peu de mon stratagème. Daniel et mon père se sont abstenus de poser des questions, sachant qu’ils n’aimeraient peut-être pas connaître la réponse à un problème de femme. Ils ont simplement pris l’air idiot des hommes dans ces cas-là. Pour parfaire le rôle, je n’ai pas touché à la corbeille de croissants – alors que je suis affamée – et me suis contentée d’un café noir et sans sucre, en regardant Charles méchamment de temps à autre. À la fin, comme on me proposait de rester au chalet, j’ai feint d’aller un peu mieux. Et je me suis fendue d’un rictus qui a pu passer pour un sourire. Nous sommes partis skier tous les deux, comme hier. Dans les œufs, je ne lui adresse pas la parole autrement que ...
... pour le strict nécessaire et sans le regarder. Il fait des tentatives amicales qui s’écrasent lamentablement contre le mur de silence que je lui oppose. Ce n’est qu’à l’heure du déjeuner que je lui adresse enfin la parole directement : – Tu comprendras bien, Charles, qu’après ce qui s’est passé hier soir, je suis très fâchée ! – Oui, je sais… J’ai été complètement stupide, mais je te trouvais tellement belle que je n’ai pas pu m’en empêcher. Et j’ai cru un moment que tu étais éveillée ! Je ne fais même pas mine de l’écouter. – Je suis d’autant plus fâchée que toi aussi, pour tout te dire, tu ne m’étais pas indifférent. Je me disais même que peut-être tous les deux, nous aurions pu prendre le temps de nous connaître mieux, et qui sait… – Ah bon ? Il a dit ça avec une minuscule lueur d’espoir dans les yeux. – Mais c’est trop tard maintenant. Tu as tout gâché, dis-je en soupirant. Tu m’as énormément déçue. Pire que ça, tu m’as dégoûtée. – Je suis vraiment désolé, Tiphaine, que faut-il faire pour que tu me pardonnes ? Je laisse passer de longues secondes sans lui répondre, les yeux fixés sur le glacier derrière lui. Puis je le regarde droit dans les yeux. – Amène-moi en boîte ce soir, aux Caves, je te dirai alors ce que j’attends de toi. Il paraît surpris et rassuré à la fois. – D’accord, dit-il, soulagé. – Mais je te préviens : tu feras exactement ce que je veux que tu fasses, et sans discuter. – Je… Je le coupe aussitôt. – Sommes-nous bien d’accord ? – Euh… Oui, sans doute. – Non, ...