Disco Girl
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
ffh,
fbi,
jeunes,
grossexe,
vacances,
sauna,
danser,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
hff,
... cela ne sert à rien d’avoir des bijoux si c’est pour les laisser au coffre. – Il a sans doute raison mais là, Julia, je ne peux vraiment pas accepter. – Si. Regarde comme tu es belle avec. Et en plus il adore que je le porte. Ça le rend très amoureux. – J’imagine que c’est pour ça qu’il te l’a offert, non ? – Hum… Je ne suis pas persuadée que ce bijou m’était destiné à l’origine. – Pourquoi dis-tu ça ? – Pour rien… Je la regarde dans les yeux. – Une maîtresse ? – Hum… – Tu te fais sans doute des idées. Vous formez un couple magnifique et il a l’air très amoureux de toi ! – Oui, mais ça ne l’empêche pas d’aller voir ailleurs de temps à autre. Et je crois que ce collier était un cadeau de rupture. Je dois bien avouer que si la nouvelle m’attriste un peu pour Julia, elle m’envoie quand même un frisson de plaisir dans l’échine. – Mais c’est avec toi qu’il est marié ! Et puis, s’il t’offre un bijou magnifique à chacune de ses petites escapades… – Oui tu as raison. Tu es gentille ! Elle me plante un petit bisou chaud humide sur la commissure des lèvres avant de sortir. Il est étonnant de voir comment les manies et les petites habitudes se prennent vite. L’être humain se trouve toujours des repères ou des règles, qui lui rendent la vie un peu moins peureuse, un peu mieux ordonnée. Il en est ainsi de la position que chacun prend à table dans un groupe donné. Cette échelle gastronomique, pour aussi réductrice qu’elle soit, est aussi l’exemple en plus petit d’un comportement plus ...
... général. Les convives au début partagés pour des raisons de convivialité ou de convenance, les affinités se créent ou non, mais la place attribuée à table – ou dans la vie – reste souvent la même. Et voudrait-on bouleverser le plan de table pour éviter les postillons de l’oncle Albert ou les commérages incessants de tante Gabrielle, que ce serait au détriment d’un autre convive satisfait de la sienne et qui n’a pas du tout envie de se faire glavioter dans l’assiette ou de périr d’ennui. Dans la vie, on reste souvent là où on est (naît ?). Au mieux on arrive à chuinter le voisin pour s’adresser plus loin à un autre. Mais il faut parler plus fort et cela trouble l’ordre établi. Il arrive aussi que cette définition de territorialité se fasse de façon plus naturelle, plus harmonieuse. Et c’est le cas avec les Trent. Ainsi, depuis le premier soir, chacun retrouve la même place avec plaisir. Julia est assise en face de mon père, ma mère fait face à Daniel, et j’ai Charles devant moi. Mais je suis aussi assise à côté de Daniel qui a passé le dîner à me faire des compliments. « Je suis tellement si… Je suis tellement ça… » Sous prétexte d’un fou rire partagé avec le reste des convives, il m’a passé un bras autour du cou pour le laisser là, un petit peu plus longtemps que nécessaire. Étrangement cela n’a pas eu l’air de déplaire à Julia qui m’envoie des regards énigmatiques de l’autre côté de la table. Pas de doute, le collier fait de l’effet… Sa hanche et sa cuisse sont restées gluées ...