Maryse
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
couleurs,
couplus,
cocus,
vacances,
bain,
miroir,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
échange,
confession,
... Elle continue : — … mais je sais que Luc a tout ce qu’il faut pour le remplacer. Au fait, j’ai rêvé ou j’ai cru entendre Mario cette nuit ?— Oui, j’avais une petite faim.— Oh, alors vous avez fait le grand jeu. Tu as aimé ? me demande-t-elle.. Mais une fois encore, c’est un autre qui répond à ma place : — Oh, que oui. Une vraie furie. Elle nous a épuisés !— Même pas un petit reste pour Mario ?— Bien sûr que si : je lui ai défoncé le cul comme il aime… et moi aussi. Je n’ai donc pas rêvé : Mario a bien été l’amant de Luc. Pendant tout l’échange l’homme a continué de me prendre. Mais manifestement, l’évocation de Mario le stimule. Il accélère. C’est bon. — Mets-toi en levrette. Un ordre qui ne se refuse pas. Me voici à quatre pattes. Le mandrin retrouve aussitôt son chemin. — Elle a vraiment un beau cul, cette petite. Encore l’impression de n’être qu’une chose. — Attends, continue la femme qui se déplace. Elle vient face à moi, s’assied, jambes ouvertes. — Vous m’avez excitée. Bouffe-moi la chatte. Sa main sur ma tête ne me laisse pas le choix. Mais avais-je envie de refuser ? Sa chatte est grasse, couleuse du sperme de mon copain. Le matin, il est particulièrement généreux. La patronne a eu sa dose. Sa dose, comme moi je m’apprête à recevoir la mienne. Luc a accéléré. Ma croupe est une ode à me baiser, sa femme une provocatrice : — Allez, mon chéri, fais-la reluire. On a tiré le gros lot avec eux : les vacances vont être torrides ! Nos amis vont les aimer, et je suis ...
... impatiente de te voir enfiler Marc… « Enfiler mon copain ? Mais ils sont fous ! Déjà que nous avons dépassé toutes nos bornes… » Enfiler inspire l’homme. Il frotte son gland contre mon anus, et d’une poussée de sauvage m’encule à fond. Mon cri est étouffé par la chatte de la femme qui me bloque. L’homme me laboure. Sa femme m’étouffe. Mais… c’est bon ! Si bon que j’arrive à extraire une main pour aller me caresser le bouton. Je le trouve érigé comme une statue. Oh, pas une statue de bois ni de pierre, mais de chair humide, douce, qui ne demande qu’à être aimée. Laeticia me voit sûrement. Elle quitte sa pression sur ma tête et s’empare de mes seins. Je ne peux pas voir le miroir, mais je sais, j’imagine. Mon copain attend dans la chambre d’à côté. — Ahhhhhhhhhhhhh ! Il ne peut pas ne pas entendre le râle de l’homme qui se vide dans mes boyaux. Le mien est sourd, mais le plaisir est si fort que si je pouvais je hurlerais à la face du monde combien c’est bon d’être une salope. ********** Le miroir me renvoie le visage et le corps d’une femme ravagée qui ne compte plus les fois où elle a joui, où ses amants l’ont remplie. Je ne peux pas retrouver mon copain ainsi. Je me tourne vers la salle de bain dans l’intention de faire au moins une petite toilette, mais Laeticia m’arrête : — Tu es très belle. Ton copain va voir combien tu as eu de plaisir. Il sera content. Je passe le pas de la porte mais elle me dit: — Va te reposer. Ce soir nous sortons. Nous allons vous présenter à des amis. ...