1. Maryse


    Datte: 19/12/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, bain, miroir, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, échange, confession,

    ... j’assiste à ce genre de scène. Je me caresse. Je me crois invisible. Ils sont de profil et ne tournent pas la tête. L’homme a le regard fixé face à lui. Ce que je vois de son visage me surprend. C’est comme s’il était en dehors du coup. Et puis je comprends : il regarde le miroir en face de lui, et ce miroir me dévoile. C’est moi qu’il regarde. Ce n’est plus moi la voyeuse, c’est lui. Il a dû me voir me caresser. Je m’enfuis. Je retourne dans le salon. Je fais comme si je n’avais rien vu. À leur retour ils font comme s’ils ne m’avaient pas remarquée. Je reçois les compliments pour ma réparation et en prime une invitation à diner. Leur piège est amorcé. Ils ont raison. Surtout ne pas brusquer. Laisser croire que rien ne s’est passé afin que les proies se croient en sécurité. Et puis cette série de slows. Si Laeticia a entraîné mon copain sous le prétexte qu’elle avait envie de lui, son mari s’essayait avec moi. Il me rappelait m’avoir surprise les doigts dans le pot de confiture. Son corps parlait au mien. Il me disait combien j’étais son genre et que nous pourrions, en toute discrétion, nous faire un petit plaisir. Mais j’étais encore prude. Alors il a appliqué le plan B : me faire surprendre les amants. J’étais d’autant plus en colère que moi j’avais failli céder. La suite est une anthologie de la manipulation. Souffler le chaud puis le froid. Suggérer la vengeance sans en parler. Me défier en tant que femme. Me mener là où ils voulaient. Les pervers ! Mais quel ...
    ... savoir-faire ! Quel machiavélisme ! Mais ils ne font en réalité que rendre possible ce que notre subconscient envisage. Ma pudibonderie n’était que de façade, un vernis qu’une éducation rigoriste avait badigeonné. Sinon, toute cette mise en condition n’aurait servi à rien. Alors surtout ne pas les accabler. D’accord, c’est la colère qu’on me prenne pour une débile qui m’a fait m’attaquer au pantalon et puis au slip de Luc. Mais c’est toute la science de la manipulation de Laeticia qui m’a fait paraître comme une évidence de sucer son homme. Elle distille les mots, les remarques, les provocations. Avec le recul et mon expérience, je crois que c’est le « Sauf qu’il bandait… » qui m’a fait basculer. Avant, j’étais en colère. Baisser le pantalon et le slip était un geste autant dirigé contre Marc que Luc. Je me disais que s’il avait insisté, peut-être que… Aussi, quoi de plus ridicule qu’un homme, le pantalon sur les genoux ? À part que le « Sauf qu’il bandait… » m’a vraiment fait découvrir ce que j’avais devant les yeux. Le sexe était noir. Je sais, c’est ridicule ; mais moi, de toute ma vie je n’avais jamais vu que des bites blanches et des bourses appareillées. Là, la tige était vraiment noire, de la couleur du corps de Luc, noir profond ; "ébène", comme l’a écrit Marc. Elle était au repos, reposait sur les deux couilles à la peau fripée. Et comme répondant au défi de Laeticia, alors que je la détachais précautionneusement de son support, le gland m’est apparu. Un gland plus clair, rouge ...
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