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Maryse
Datte: 19/12/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, bain, miroir, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, échange, confession,
... oui. Tu te caressais. Tu aimes regarder. Coquine. Il se frotte à moi. Ses mains enveloppent mes seins. Déjà mes tétons pointent, mes seins se gonflent à nouveau. Je me sens salope. Cet homme vient de me baiser et j’ai encore envie. Une envie irrépressible. Il m’embrasse dans le cou, sous l’oreille. La douceur de cette caresse me donne des frissons. — Je vais te prendre comme elle. À quatre pattes ! Comme la petite salope que tu es. Comme une chienne. Et tu vas te voir dans le miroir. Tu as envie. Dis-moi que tu as envie. Que tu as mouillé toute la journée. Que tout à l’heure dans la boîte il suffisait que j’insiste. Que j’aurais pu te prendre contre un arbre, à quelques mètres des danseurs, comme on prend une pute. Le langage me choque mais m’excite. J’ai le souvenir des propos échangés avec sa femme. Lui au moins ne me ménage pas. J’ai l’impression qu’il en sait sur moi bien plus que je ne veux savoir. — J’ai pas raison ? Il me mordille la nuque. Une main descend pour se plaquer sur ma chatte. Il me tord le téton. — Si.— Tu vois. La nuit ne fait que commencer. J’ai des projets pour toi. Dis-moi que tu as envie.— J’ai envie. Mon Dieu, qu’est-ce que je dis ! — Plus fort. Je veux qu’ils t’entendent à côté. Que ton mec entende. Ça va l’exciter et il va encore mieux bourrer ma femme. Je prends ma respiration : — J’ai envie. J’ai presque crié. Que va penser Marc de cet aveu ? Oh, et après tout… — Suce-moi. Je m’assois sur le bord du lit. Sa verge n’est plus si molle que tout à ...
... l’heure. Elle est grasse. Je la prends dans ma bouche. Elle porte l’odeur de son foutre et de ma liqueur. Je la suce avec envie. Oui, envie de la sentir… Voilà, déjà elle se dresse… J’ose caresser les couilles avec une main. Il gronde. Je me sens toute-puissante, maîtresse de ce membre viril si particulier. Mais il me tire vers le haut. Il me tourne. Je monte sur le lit. Il me retient au bord. Je m’installe en levrette. En tournant la tête à gauche je me vois dans le miroir. C’est la première fois que je me découvre ainsi, placée pour recevoir le mâle. C’est cette idée qui me retenait au début, mais mes amants – et Marc en particulier – adorent cette position. Je vois aussi Luc de profil, debout tout près de moi. Je le vois guider son dard. Je sens la douce pression. Il entre. Je suis ouverte et encore pleine de son foutre, même si une partie a coulé sur mes cuisses. La fille sur le lit bouge un peu. Elle veut le sentir la posséder. Déjà il est tout contre elle. Ils ne font plus qu’un. Elle tortille du cul comme une salope pour que le mandrin frotte les parois de son vagin. Le drap rouge vif éclaire la scène d’une couleur maléfique. La femelle paraît plus blanche. Le mâle encore plus noir. Mes hanches sont des prises où les mains puissantes s’agrippent. Elles me poussent. Elles me tirent. Je suis une balancelle qu’il tire vers son mandrin. À chaque mouvement j’ai l’impression qu’il me pénètre un peu plus. Dans le miroir la queue paraît immobile, horizontale et si elle ressort ...