1. Maryse


    Datte: 19/12/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, bain, miroir, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, échange, confession,

    ... très sombre, mais surtout libre de toute protection. À l’époque – ne vous moquez pas de moi – mes amants pouvaient se compter sur les doigts d’une seule main et je ne connaissais que le bout plus ou moins recouvert d’une peau que l’érection faisait reculer. Et là, je dois remercier mon chéri qui, à l’époque, m’initiait à le sucer. Je commençais à y trouver un certain plaisir. Aussi, prendre cette tige en bouche, la sentir grandir, à la fois dure et souple, se déployant par la tiédeur et l’humidité de ma gorge a été une révélation. La bite de Marc est déjà raide – et Dieu sait qu’elle est dure – lorsqu’il me la propose. Celle de Luc était différente en tout. Et puis la tentatrice qui commentait, qui comparait… Et puis le regard de Marc littéralement sidéré de me voir ainsi… Laeticia qui me faisait un cours sur le goût des foutres comme si j’étais déjà experte… Et puis l’homme qui me saisit la tête pour utiliser ma gorge à son dessein… Et toujours le regard de Marc qui ne peut croire ce qu’il voit… Et ce sperme tiède, gras, abondant qui jaillit en plusieurs jets… Et puis… et puis… J’avais eu un étrange plaisir de réussir à pomper cet homme si expérimenté. J’étais fière de moi, d’avoir vaincu ce dégoût ridicule, mais j’avais un peu honte de m’être laissée emporter. Déjà je préparais mes arguments, colère et vengeance, que j’allais développer pour expliquer cette attitude lorsque mon copain et moi allions nous retrouver seuls. Mais si vous avez lu le récit de Marc, vous savez ...
    ... que la tentatrice a su déployer ses charmes et sa perversité pour nous entraîner plus loin. Ainsi, j’avais fini couchée sur une table de jardin avec ce mandrin noir qui m’avait donné tant de plaisir. Un plaisir que je ne cachais même plus. Je ne sentais plus femelle que femme, appréciant la vigueur de cet homme, sa puissance au point de me soulever et de me bourrer comme jamais aucun homme ne l’avait fait. Et puis après tout, pourquoi me serais-je retenue alors que mon copain bandait comme un malade et se faisait peloter par Laeticia ? ********** C’est à partir de maintenant que mon récit devient plus personnel. Avant, nous étions tous les quatre. Et puis Marc et Laeticia sont partis, nous laissant seuls sur cette table du plaisir. Je me souviens de tout. De Luc qui me soulève comme un fétu de paille. Des quelques pas pour traverser le salon, passer dans le couloir, faire une halte devant une porte laissée ouverte, à dessein bien sûr, où mon copain se fait chevaucher par une cavalière dont l’ardeur faisait plaisir à voir. Luc m’entraîne vers la porte suivante. Sa chambre. Celle où, mon Dieu, seulement quelques heures et tant de changements, je l’ai vu baiser sa femme. — Regarde, me dit Luc en me montrant les miroirs sur des portes de placards. Il s’est collé contre moi. Je sens son sexe poisseux manifestement en repos contre mes reins. — Vous avez déjà essayé devant des miroirs ?— Non.— C’est comme cela que je t’ai vue, cet après-midi. Cela t’a plu ? Ne réponds pas, je sais que ...
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